Investing.com - L'euro a progressé vers un pic des huit dernières semaines face au dollar U.S. ce mercredi, sur fond de retour de l'espoir que la Grèce tombe d'accord sur les conditionns liées au second plan de secours et évite ainsi un défaut de paiement.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3287 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 12 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.3267, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3088, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.3381, son plafond déjà évoqué.
Le moral a repris des couleurs grâce aux signes selon lesquels les dirigeants politiques grecs se rapprocheraient d'un concensus concernant une échange de dettes avec les créanciers privés, dans le but de réduire les coûts des emprunts dans le futur.
Le pays a besoin de boucler la restructuration de sa dette d'ici début mars afin de se soit attribuer les 130 milliards d'euros du fonds de secours.
La monnaie unique a également regagné des forces après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait fait savoir que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les chiffres de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé ç son plus bas niveau entrois ans.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il a en effet affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant un emploi ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.
La devise européenne a également perdu quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour trébucher à 0.8338.
Aucun résultat économique d'importance n'était prévu pour aujourd'hui.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3287 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 12 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.3267, grignotant 0.06%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3088, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1.3381, son plafond déjà évoqué.
Le moral a repris des couleurs grâce aux signes selon lesquels les dirigeants politiques grecs se rapprocheraient d'un concensus concernant une échange de dettes avec les créanciers privés, dans le but de réduire les coûts des emprunts dans le futur.
Le pays a besoin de boucler la restructuration de sa dette d'ici début mars afin de se soit attribuer les 130 milliards d'euros du fonds de secours.
La monnaie unique a également regagné des forces après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait fait savoir que cette dernière maintiendrait ses taux d'intérêt aux abords de zéro bien que les chiffres de la semaine dernière aient montré que la chômage avait plongé ç son plus bas niveau entrois ans.
Lors de son témoignage d'hier devant le comité budgétaire sénatorial à Washington, il a en effet affirmé que la baisse du taux des personnes recherchant un emploi ne reflétait pas la faiblesse du marché de l'emploi.
La devise européenne a également perdu quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.04% pour trébucher à 0.8338.
Aucun résultat économique d'importance n'était prévu pour aujourd'hui.