Investing.com - Le dollar U.S. n'a guère brillé face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, les trannsactions étant peu nombreuses à la veille d'un jour férié américain, dans l'expectative de la ddécision que prendra la Banque Centrale Européenne en cours de semaine.
En seconde partie de séance européenne, il a peine repris le dessus contre l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2574.
Son blason s'était retrouvé terni hier, après qu'il ait été annoncé que l'activité secondaire américaine avait régressé pour la première fois depuis juillet 2009, alimentant les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une croissance à la dérive.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet indiqué que son indice était tombé de 53.5 à 49.7 pour juin.
Le cap que prendra la BCE jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement des taux destiné à relancer l'expansion économique de la région.
Il avait été souligné lundi que son taux de chômage avait établi un nouveau record en mai, et que son secteur manufacturier était resté en nette contraction en juin.
La livre sterling a également cédé quelques pouces de terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0.13% pour glisser à 1.5669.
Il avait auparavant été montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait connu en juin sa plus forte diminution en deux ans et demi, la production et les nouvelles commandes ayant fait défaut.
Cette déception a encore conforté l'hypothèse selon laquelle la banque centrale du pays mettrait en place de nouvelles injections de capitaux lors de sa réunion de jeudi, après qu'il ait déjà été montré hier que le secteur manufacturier national avait subi en juin son second mois de recul d'affilée.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY s'élevant de 0.3% pour se retrouver à 79.74, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF demeurant stable à 0.9551.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.0161, l'AUD/USD raflant 0.06% pour monter à 1.0254 et le NZD/USD faisant un faux pas de 0.19% pour toucher le fond à 0.802.
La seconde n'a guère fait cas du maintien sans surprise ce matin du taux directeur de la Réserve Bancaire d'Australie à 3.5%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.1% pour se situer à 82.07.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
En seconde partie de séance européenne, il a peine repris le dessus contre l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.01% pour reprendre pied à 1.2574.
Son blason s'était retrouvé terni hier, après qu'il ait été annoncé que l'activité secondaire américaine avait régressé pour la première fois depuis juillet 2009, alimentant les rumeurs selon lesquelles la banque centrale américaine pourrait mettre en place une troisième série d'apports de capitaux afin de renflouer une croissance à la dérive.
L'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis a en effet indiqué que son indice était tombé de 53.5 à 49.7 pour juin.
Le cap que prendra la BCE jeudi fera aussi l'objet de toutes les attentions, dans l'attente grandissante d'un rabaissement des taux destiné à relancer l'expansion économique de la région.
Il avait été souligné lundi que son taux de chômage avait établi un nouveau record en mai, et que son secteur manufacturier était resté en nette contraction en juin.
La livre sterling a également cédé quelques pouces de terrain au billet vert, le GBP/USD trébuchant de 0.13% pour glisser à 1.5669.
Il avait auparavant été montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait connu en juin sa plus forte diminution en deux ans et demi, la production et les nouvelles commandes ayant fait défaut.
Cette déception a encore conforté l'hypothèse selon laquelle la banque centrale du pays mettrait en place de nouvelles injections de capitaux lors de sa réunion de jeudi, après qu'il ait déjà été montré hier que le secteur manufacturier national avait subi en juin son second mois de recul d'affilée.
Le yen a aussi subi sa pression, l'USD/JPY s'élevant de 0.3% pour se retrouver à 79.74, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF demeurant stable à 0.9551.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.09% pour aller vers 1.0161, l'AUD/USD raflant 0.06% pour monter à 1.0254 et le NZD/USD faisant un faux pas de 0.19% pour toucher le fond à 0.802.
La seconde n'a guère fait cas du maintien sans surprise ce matin du taux directeur de la Réserve Bancaire d'Australie à 3.5%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.1% pour se situer à 82.07.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.