Investing.com - L'euro était à la hausse face au dollar U.S. ce jeudi, mais est toutefois resté sous le niveau de son récent pic des quatre dernières semaines après que l'agence Moody's Investor Service ait rabaissé sa notation monétaire de la Grèce de trois crans.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4377 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4372, prenant 0.32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4256, son plancher du 30 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.4458, son plafond des quatre semaines écoulées datant de mercredi.
Moody's a en effet passé hier sa notation des dettes souveraines grecques de B1 à Caa1, soit seulement quatre crans au-dessus du niveau moyen. La perspective lui étant attribuée était également négative, signe d'une nouvelle dégradation possible à court ou moyen terme.
Le billet vert est resté largement affaibli après que les chiffres de mercredi aient montré que la croissance de l'emploi dans le secteur privé américain avait nettement ralenti en mai.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a annoncé que le nombre des créations d'emploi hors agriculture était tombé à 38 000 pour le mois dernier, soit nettement moins que les 178 000 attendus.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP s'élevant de 0.29% pour grimper à 0.8798.
Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prononcer un discours en cours de journée, tandis que les Etats-Unis dévoileront leur rapport mensuel sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés sur la productivité hors agriculture et le coût de la main-d'oeuvre, sans oublier le volume officiel des commandes passées auprès des usines.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.4377 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.4372, prenant 0.32%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4256, son plancher du 30 mai, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1.4458, son plafond des quatre semaines écoulées datant de mercredi.
Moody's a en effet passé hier sa notation des dettes souveraines grecques de B1 à Caa1, soit seulement quatre crans au-dessus du niveau moyen. La perspective lui étant attribuée était également négative, signe d'une nouvelle dégradation possible à court ou moyen terme.
Le billet vert est resté largement affaibli après que les chiffres de mercredi aient montré que la croissance de l'emploi dans le secteur privé américain avait nettement ralenti en mai.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a annoncé que le nombre des créations d'emploi hors agriculture était tombé à 38 000 pour le mois dernier, soit nettement moins que les 178 000 attendus.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP s'élevant de 0.29% pour grimper à 0.8798.
Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prononcer un discours en cours de journée, tandis que les Etats-Unis dévoileront leur rapport mensuel sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres révisés sur la productivité hors agriculture et le coût de la main-d'oeuvre, sans oublier le volume officiel des commandes passées auprès des usines.