Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note positive ce mercredi matin, les valeurs nippones grimpant pour la première fois en quatre journées de cotation suite au fléchissement du yen, encourageant les grands noms de l'exportation locaux.
L'ambiance profitait aussi des bonnes performances des entreprises des Etats-Unis, ainsi que des améliorations supérieures aux espérances de leurs industries et de la multiplication inattendue de leurs lancements de chantiers, laissant entrevoir une embellie économique.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1%, le Hang Seng de Hong Kong 0,3% et le Nikkei 225 japonais 1,2%.
Sydney se remettait quelque peu de ses récentes déconvenues, les opérateurs reprenant du service afin de profiter d'occasions à bas prix.
Telstra grimpait ainsi de 2,8%, Wesfarmers et Woolworths lui emboîtant le pas avec respectivement 2,7 et 2,2%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert de perspectives de demande en baisse de la part de la Chine, dont ils sont fortement dépendants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient du coup de 0,5 et 0,8%, le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group n'étant pas en reste avec 0,8%.
Hong Kong oscillait pour sa part vers le haut dans une ambiance hachée, en raison des inquiétudes au sujet de l'économie chinoise découlant du piètre produit intérieur brut chinois dévoilé lundi.
Son ascension demeurait freinée par un secteur financier en retrait, la Bank of China chutant de 1,2, la China Construction Bank de 0,5% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 1%.
Tokyo voyait quand à elle son indice vedette se rapprocher de son pic de cinq ans établi la semaine passée, le yen faiblissant pour la seconde journée consécutive par rapport au dollar U.S. et rafermissant donc les perspectives de revenus provenant de l'étranger.
L'USD/JPY est ainsi remonté vers 98,30, lorgnant à nouveau sur la barre cruciale des 100.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan avançaient ainsi de 5,9 et de 3,3%, suivis de Canon et Sony avec 1,7 et 2,3%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 2,7%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 2,4 et 4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, dans le sillage de l'optimisme affiché par Wall Street.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,5% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0,4% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3%.
L'Allemagne devrait de son côté procéder en fin de matinée à des enchères d'obligations décennales.
L'ambiance profitait aussi des bonnes performances des entreprises des Etats-Unis, ainsi que des améliorations supérieures aux espérances de leurs industries et de la multiplication inattendue de leurs lancements de chantiers, laissant entrevoir une embellie économique.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 1%, le Hang Seng de Hong Kong 0,3% et le Nikkei 225 japonais 1,2%.
Sydney se remettait quelque peu de ses récentes déconvenues, les opérateurs reprenant du service afin de profiter d'occasions à bas prix.
Telstra grimpait ainsi de 2,8%, Wesfarmers et Woolworths lui emboîtant le pas avec respectivement 2,7 et 2,2%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert de perspectives de demande en baisse de la part de la Chine, dont ils sont fortement dépendants.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient du coup de 0,5 et 0,8%, le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group n'étant pas en reste avec 0,8%.
Hong Kong oscillait pour sa part vers le haut dans une ambiance hachée, en raison des inquiétudes au sujet de l'économie chinoise découlant du piètre produit intérieur brut chinois dévoilé lundi.
Son ascension demeurait freinée par un secteur financier en retrait, la Bank of China chutant de 1,2, la China Construction Bank de 0,5% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, de 1%.
Tokyo voyait quand à elle son indice vedette se rapprocher de son pic de cinq ans établi la semaine passée, le yen faiblissant pour la seconde journée consécutive par rapport au dollar U.S. et rafermissant donc les perspectives de revenus provenant de l'étranger.
L'USD/JPY est ainsi remonté vers 98,30, lorgnant à nouveau sur la barre cruciale des 100.
Les constructeurs automobiles Mazda et Nissan avançaient ainsi de 5,9 et de 3,3%, suivis de Canon et Sony avec 1,7 et 2,3%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, empochant 2,7%, tandis que le Mizuho Financial Group et le Sumitomo Mitsui Financial Group faisaient de même avec 2,4 et 4%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement radieux, dans le sillage de l'optimisme affiché par Wall Street.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,5% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0,4% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3%.
L'Allemagne devrait de son côté procéder en fin de matinée à des enchères d'obligations décennales.