Investing.com - Le dollar U.S. était encore plus en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, les investisseurs attendant les résultats de la réunion d'orientation politique de la Réserve Fédérale, toute en surveillant l'évolution de la situation en zone euro après l'appel surprise au referendum de la Grèce d'hier.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.59% pour grimper à 1.3784.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.38% pour se hisser à 1.6012.
Une étude avait auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait davavntage augmenté en octobre que prévu, s'élevant vers un pic des cinq derniers mois.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.38% pour se retrouver à 78.06 et l'USD/CHF glissant de 0.53% pour tomber à 0.8823.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.62% pour aller vers 1.014, l'AUD/USD raflant 0.31% pour monter à 1.0362 et le NZD/USD reculant de 0.25% pour hoqueter à 0.7929.
Une rapport émanant des autorités australiennes avait auparavant signalé que le nombre des permis de construire qu'elle avaient délivrés avait diminué en septembre de manière nettement supérieure aux craintes, plongeant de 13.6% au lieu des 4.7% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.54% pour se situer à 77.02.
Le goût pour se risque s'était trouvé encouragé par une étude montrant que l'emploi privé non agricole avait davantage progressé en octobre que prévu, grâce à l'expansion du secteur des services.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet souligné que le secteur privé avait embauché 110 000 personnes sur le mois, contre seulement 100 000 attendues.
Les 91 000 emplois supplémentaires préalablement avancés pour septembre ont par ailleurs été revus à la hausse vers 116 000.
La Réserve Fédérale conclura cet après-midi ses deus jours de réunion d'élaboration de la politique monétaire, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question, et les acteurs des marchés la surveilleront comme le lait sur le feu afin d'y débusquer tout signe indiquant une tendance à l'assouplissement des membres du conseil.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant la monnaie unique, l'EUR/USD gagnant 0.59% pour grimper à 1.3784.
George Papandreou, premier ministre de la Grèce, avait auparavant obtenu le soutien de son gouvernement concernant la consultation populaire au sujet du plan de sauvetage à hauteur de 130 milliards d'euros et prévoyait de rencontrer ses homologues de France et d'Allemagne dans la journée afin d'en discuter.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.38% pour se hisser à 1.6012.
Une étude avait auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait davavntage augmenté en octobre que prévu, s'élevant vers un pic des cinq derniers mois.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.38% pour se retrouver à 78.06 et l'USD/CHF glissant de 0.53% pour tomber à 0.8823.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et australienne, mais pas par la néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.62% pour aller vers 1.014, l'AUD/USD raflant 0.31% pour monter à 1.0362 et le NZD/USD reculant de 0.25% pour hoqueter à 0.7929.
Une rapport émanant des autorités australiennes avait auparavant signalé que le nombre des permis de construire qu'elle avaient délivrés avait diminué en septembre de manière nettement supérieure aux craintes, plongeant de 13.6% au lieu des 4.7% prévus.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.54% pour se situer à 77.02.
Le goût pour se risque s'était trouvé encouragé par une étude montrant que l'emploi privé non agricole avait davantage progressé en octobre que prévu, grâce à l'expansion du secteur des services.
La compagnie de gestion des ressources humaines ADP a en effet souligné que le secteur privé avait embauché 110 000 personnes sur le mois, contre seulement 100 000 attendues.
Les 91 000 emplois supplémentaires préalablement avancés pour septembre ont par ailleurs été revus à la hausse vers 116 000.
La Réserve Fédérale conclura cet après-midi ses deus jours de réunion d'élaboration de la politique monétaire, et Ben Bernanke, son président, tiendra ensuite une conférence de presse sur la question, et les acteurs des marchés la surveilleront comme le lait sur le feu afin d'y débusquer tout signe indiquant une tendance à l'assouplissement des membres du conseil.