Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, son homologue européen reprenant des couleurs en attendant les résultats des élections italiennes, mais il prenait cependant l'avantage sur le japonais et le britannique.
En fin de première partie de séance européenne, le yen fléchissait devant lui, l'USD/JPY gagnant 0.43% pour grimper à 93.76.
Ce dernier subissait les rumeurs selon lesquelles les autorités nippones compteraient nommer un partisan d'accommodements musclés à la tête de leur banque centrale.
Des représentants des autorités affirmaient en effet que premier ministre nippon sur le retour Shinzo Abe compterait nommer Haruhiko Kuroda, dirigeant actuellement la Banque Asiatique de Développement, au poste de gouverneur de la Banque du Japon.
La livre sterling lui a également cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.2% pour glisser à 1.5143 dans le sillage du rabaissement vendredi soir d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au Royaume-Uni par l'agence de notation Moody's.
Elle l'ai ainsi amenée à Aa1, invoquant des perspectives d'expansion économique en berne et un endettement de plus en plus important.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.63% pour culminer à 1.3271.
Tous les yeux étaient désormais tournés vers l'arrivée du verdict des urnes italiennes, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Le billet vert a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.47% pour tomber à 0.9254.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.21% pour aller vers 1.0223, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.0317 et le NZD/USD engrangeant 0.35% pour culminer à 0.8406.
La seconde avait subi un passage à vide à l'aube, après qu'il ait été souligné que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine, établi par HSBC, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible en quatre mois, remettant en question la vigueur de la relance de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 80.31.
En fin de première partie de séance européenne, le yen fléchissait devant lui, l'USD/JPY gagnant 0.43% pour grimper à 93.76.
Ce dernier subissait les rumeurs selon lesquelles les autorités nippones compteraient nommer un partisan d'accommodements musclés à la tête de leur banque centrale.
Des représentants des autorités affirmaient en effet que premier ministre nippon sur le retour Shinzo Abe compterait nommer Haruhiko Kuroda, dirigeant actuellement la Banque Asiatique de Développement, au poste de gouverneur de la Banque du Japon.
La livre sterling lui a également cédé du terrain, le GBP/USD perdant 0.2% pour glisser à 1.5143 dans le sillage du rabaissement vendredi soir d'un cran de la notation triple A anciennement attribuée au Royaume-Uni par l'agence de notation Moody's.
Elle l'ai ainsi amenée à Aa1, invoquant des perspectives d'expansion économique en berne et un endettement de plus en plus important.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD grimpant de 0.63% pour culminer à 1.3271.
Tous les yeux étaient désormais tournés vers l'arrivée du verdict des urnes italiennes, avec la peur qu'un parlement sans majorité claire freine l'avancée des réformes économiques et destabilise la troisième économie régionale.
Le billet vert a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF dérapant de 0.47% pour tomber à 0.9254.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.21% pour aller vers 1.0223, l'AUD/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.0317 et le NZD/USD engrangeant 0.35% pour culminer à 0.8406.
La seconde avait subi un passage à vide à l'aube, après qu'il ait été souligné que l'indice préliminaire des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine, établi par HSBC, avait dérapé depuis les 52.3 définitifs de janvier jusqu'à 50.4, sa valeur la plus faible en quatre mois, remettant en question la vigueur de la relance de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 80.31.