Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en nette hausse ce mercredi, dans l'attente grandissante de nouvelles mesures stimulatrices de la part de la Banque Centrale Européenne, destinées à contrer les effets du ralentissement de l'économie mondiale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors un bond de 0.91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.09% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.07%.
Le moral est en effet revenu sur fond de rumeurs selon lesquelles la BCE choisirait de procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture.
Certains estiment qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays.
Le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
La finance était attendue sur le devant de la scène, auvu de ses belles performances de la première partie de session européenne, et ce bien que l'agence de notation Moody's ait dégradé hier soir six établissements bancaires allemands, ainsi que leurs trois plus gros collègues autrichiens, les estimant vulnérables à une aggravation de la crise régionale.
La Bank of America et Citigroup on respectivement engrangé 2.25 et 1.17% avant l'ouverture.
Le secteur énergétique nn'était pas en reste, Exxon Mobil gagnant 0.32%, Chevron 0.26% et ConocoPhillips 0.15% après la fermeture suite à la hausse de cours du pétrole.
Chesapeake Energy a pour sa part raflé 2.91%, tandis que couraient des bruits affirmant que le géant des hydrocarbures serait en négociations avancées dansle but de vendre des oléoducs à Global Infrastructure Partners, pour une somme de plus de 4 milliards d'USD.
General Motors a quand à lui grignoté 0.24% lors des échanges d'après la clôture, Opel, sa branche européenne, était sorti d'après l'agence de presse Reuters de sa pire ornière en termes de ventes en Allemagne, espérant à présent étendre ses parts de marché vers un nombre à deux chiffres, un niveau qu'elles ont déserté depuis 2005.
FaceBook demeurait sous les feux de la rampe, alors que le mastodonte des réseaux sociaux serait en train de faciliter l'accès des publicitaires à ses utilisateurs munis d'intelliphones et autres points d'accès mobiles, faisant un grand pas en avant dans la résolution d'un des points de contention les plus graves des investisseurs, élargissant ainsi son attractivité auprès des annonceurs, et avançant de 1.51% en pré-ouverture.
Les bourses européennes étaient elles aussi en grande forme, l'EURO STOXX 50 conquérant 2.09%, le CAC 40 français 2.03%, le DAX 30 allemand 1.73% et le FTSE 100 britannique 1.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 1.43%, et le Nikkei 225 japonais 1.81%.
Un rapport avait signalé ce matin que la production industrielle allemande avait plongé de 2.2% en avril, alors qu'une contraction de 1% était déjà redoutée, ravivant les interrogations sur les conséquences du problème du surendettement de la région subies par sa première économie.
Les Etats-Unis devraient de leur côté divulguer dans l'après-midi l'état révisé de leur productivité non-agricole, ainsi que l'inventaire des réserves pétrolières établi par leur gouvernement, après quoi la Réserve Fédérale publiera son livre beige.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors un bond de 0.91%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 1.09% et celles sur le Nasdaq 100 à 1.07%.
Le moral est en effet revenu sur fond de rumeurs selon lesquelles la BCE choisirait de procéder à de nouvelles injections de capitaux dans un système bancaire européen en mauvaise posture.
Certains estiment qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor, afin de soulager la pression des coûts des emprunts pesant sur l'Espagne.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, témoignera d'autre part jeudi face à un comité parlementaire de l'état de l'économie du pays.
Le Wall Street Journal, citant des entretiens et des discours émanant de la banque centrale américaine, a fait savoir dans la soirée d'hier que celle-ci était en train d'étudier des mesures pouvant redonner des couleurs à la première économie mondiale.
La finance était attendue sur le devant de la scène, auvu de ses belles performances de la première partie de session européenne, et ce bien que l'agence de notation Moody's ait dégradé hier soir six établissements bancaires allemands, ainsi que leurs trois plus gros collègues autrichiens, les estimant vulnérables à une aggravation de la crise régionale.
La Bank of America et Citigroup on respectivement engrangé 2.25 et 1.17% avant l'ouverture.
Le secteur énergétique nn'était pas en reste, Exxon Mobil gagnant 0.32%, Chevron 0.26% et ConocoPhillips 0.15% après la fermeture suite à la hausse de cours du pétrole.
Chesapeake Energy a pour sa part raflé 2.91%, tandis que couraient des bruits affirmant que le géant des hydrocarbures serait en négociations avancées dansle but de vendre des oléoducs à Global Infrastructure Partners, pour une somme de plus de 4 milliards d'USD.
General Motors a quand à lui grignoté 0.24% lors des échanges d'après la clôture, Opel, sa branche européenne, était sorti d'après l'agence de presse Reuters de sa pire ornière en termes de ventes en Allemagne, espérant à présent étendre ses parts de marché vers un nombre à deux chiffres, un niveau qu'elles ont déserté depuis 2005.
FaceBook demeurait sous les feux de la rampe, alors que le mastodonte des réseaux sociaux serait en train de faciliter l'accès des publicitaires à ses utilisateurs munis d'intelliphones et autres points d'accès mobiles, faisant un grand pas en avant dans la résolution d'un des points de contention les plus graves des investisseurs, élargissant ainsi son attractivité auprès des annonceurs, et avançant de 1.51% en pré-ouverture.
Les bourses européennes étaient elles aussi en grande forme, l'EURO STOXX 50 conquérant 2.09%, le CAC 40 français 2.03%, le DAX 30 allemand 1.73% et le FTSE 100 britannique 1.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait encaissé 1.43%, et le Nikkei 225 japonais 1.81%.
Un rapport avait signalé ce matin que la production industrielle allemande avait plongé de 2.2% en avril, alors qu'une contraction de 1% était déjà redoutée, ravivant les interrogations sur les conséquences du problème du surendettement de la région subies par sa première économie.
Les Etats-Unis devraient de leur côté divulguer dans l'après-midi l'état révisé de leur productivité non-agricole, ainsi que l'inventaire des réserves pétrolières établi par leur gouvernement, après quoi la Réserve Fédérale publiera son livre beige.