Investing.com - Les bourses américaines ont conclu avec une fausse note, poursuivant sur leur lencée de la semaine, les observateurs redoutant une fermeture prochaine des vannes de la part des principales autorités monétaires.
L'atmosphère s'est en effet trouvée plombée par les rumeurs grandissantes selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de liduidités mensuelles dès cette année, entraînant un effondrement global des actions et des matières premières.
Le Dow Jones a ainsi chuté de 0,7% pour conclure avec 1,2% de régression depuis lundi, me S&P 500 faisait de même avec 0,59%, laissant filer 1,0% hebdomadaires, tandis que le Nasdaq leur emboîtait le pas avec 0,63% journaliers.
Les résultats économiques décevants de la part des Etats-Unis révélés le même jour ont aussi fait craindre pour la solidité de leur relance, à l'approche de la prochaine prise de cap de leur banque centrale.
Il a en effet été montré que le baromètre du moral des consommateurs américains établi par l'université du Michigan avait chuté sans crier gare en juin après avoir culminé en mai à son plus haut niveau en six ans.
Il était aussi à noter que l'activité industrielle américaine avait stagné le mois dernier, tandis que le taux d'utilisation des capacités de production reculait dans le même temps.
Tous les yeux seront désormais tournés vers la prise de cap de la Réserve Fédérale qui aura lieu mercredi, les observateurs guettant avec avidité tout indice que son président en Bernanke pourrait laisser filtrer sur une éventuelle réduction de la voilure de ses injections de liquidités.
L'Asie était plus nuancée, l'indice composite de Shanghaï chinois bondissant de 0,6%, alors que le Nikkei 225 japonais se redressait quand à lui de 1,9% après s'être effondré de 6,4% la veille, ce qui l'avait fait entrer en déclin, ayant dérapé de plus de 20% par rapport à son sommet du 22 mai.
Les bourses européennes gardaient le sourire, le Stoxx Europe 600 grimpant de 0,2%, après qu'une étude officielle ait montré que l'inflation des prix au détail de la zone euro était demeurée stable à 1,4% pour le mois passé.
Le CAC 40 français n'était pas en reste avec 0,19% et le DAX 30 allemand non plus avec 0,4%, tandis que le FTSE 100 britannique se contentait de 0,06%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 98,07 USD le baril, empochant 1,45% après avoir établi de nouveaux sommets de neuf mois sur fond de crainte d'une perturbation des flux provenant du Moyen-Orient.
Les contrats sur l'or à la même échéance se sont de leur côté échangés à 1.390,05 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, engrangeant 0,9% au cours de celle-ci.
L'atmosphère s'est en effet trouvée plombée par les rumeurs grandissantes selon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait réduire la voilure de ses 85 milliards d'USD d'injections de liduidités mensuelles dès cette année, entraînant un effondrement global des actions et des matières premières.
Le Dow Jones a ainsi chuté de 0,7% pour conclure avec 1,2% de régression depuis lundi, me S&P 500 faisait de même avec 0,59%, laissant filer 1,0% hebdomadaires, tandis que le Nasdaq leur emboîtait le pas avec 0,63% journaliers.
Les résultats économiques décevants de la part des Etats-Unis révélés le même jour ont aussi fait craindre pour la solidité de leur relance, à l'approche de la prochaine prise de cap de leur banque centrale.
Il a en effet été montré que le baromètre du moral des consommateurs américains établi par l'université du Michigan avait chuté sans crier gare en juin après avoir culminé en mai à son plus haut niveau en six ans.
Il était aussi à noter que l'activité industrielle américaine avait stagné le mois dernier, tandis que le taux d'utilisation des capacités de production reculait dans le même temps.
Tous les yeux seront désormais tournés vers la prise de cap de la Réserve Fédérale qui aura lieu mercredi, les observateurs guettant avec avidité tout indice que son président en Bernanke pourrait laisser filtrer sur une éventuelle réduction de la voilure de ses injections de liquidités.
L'Asie était plus nuancée, l'indice composite de Shanghaï chinois bondissant de 0,6%, alors que le Nikkei 225 japonais se redressait quand à lui de 1,9% après s'être effondré de 6,4% la veille, ce qui l'avait fait entrer en déclin, ayant dérapé de plus de 20% par rapport à son sommet du 22 mai.
Les bourses européennes gardaient le sourire, le Stoxx Europe 600 grimpant de 0,2%, après qu'une étude officielle ait montré que l'inflation des prix au détail de la zone euro était demeurée stable à 1,4% pour le mois passé.
Le CAC 40 français n'était pas en reste avec 0,19% et le DAX 30 allemand non plus avec 0,4%, tandis que le FTSE 100 britannique se contentait de 0,06%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 98,07 USD le baril, empochant 1,45% après avoir établi de nouveaux sommets de neuf mois sur fond de crainte d'une perturbation des flux provenant du Moyen-Orient.
Les contrats sur l'or à la même échéance se sont de leur côté échangés à 1.390,05 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, engrangeant 0,9% au cours de celle-ci.