Investing.com - L'euro a gardé la main face à la livre sterling ce mercredi, après que le procèss-verbal de la réunion de la banque centrale britannique de ce mois-ci ait montré que ses décideurs n'avaient voté contre la mise en place de nouveaux assouplissements que d'une courte marge.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8098 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis lundi, puis s'est stabilisée vers 0.8077, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8023, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.8108, son plafond déjà évoqué.
Le document montrait en effet que quatre des membres du conseil directeur, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté en faveur de nouvelles injections de capitaux, contre cinq qui s'y opposaient.
Il y était précisé que la plupart d'entre eux estimait que de nouveaux coups de pouce étaient nécessaires dans l'immédiat ou le deviendraient probablement dans un futur proche afin d'atteindre l'inflation visée par la banque centrale.
Le fléchissement inattendu des prix à la consommation du Royaume-Uni mis en évidence hier pour mai avait alimenté l'attente de nouveaux apports de capitaux de sa part, alors que l'inflation avait jusqu'à présent diminué moins rapidementt qu'elle ne l'espérait.
Il était d'autre part à noter qu'il y avait eu au cours de la même période 8 100 bénéficiaires supplémentaires des allocations pour les demandeurs d'emploi dans le pays, alors que 3 000 de moins étaient espérés.
Le taux de chômage demeurait toutefois stable à 8.2% comme prévu.
La monnaie unique demeurait encouragée par l'espoir que la Réserve Fédérale annonce après la conclusion en fin de journée de sa réunion d'orientation des mesures stimulatrices après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Le taux des obligations décennales espagnoles est d'autre part retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
La devise européenne dominait aussi de peu le dollar U.S. et le yen, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour se hisser à 1.2698 et l'EUR/JPY arrachant 0.12% pour grimper à 100.25.
La banque centrale américaine révèlera quand à elle son taux d'intérêt en fin de journée, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse au sujet du cap qui aura été pris.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8098 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis lundi, puis s'est stabilisée vers 0.8077, prenant 0.15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8023, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 0.8108, son plafond déjà évoqué.
Le document montrait en effet que quatre des membres du conseil directeur, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté en faveur de nouvelles injections de capitaux, contre cinq qui s'y opposaient.
Il y était précisé que la plupart d'entre eux estimait que de nouveaux coups de pouce étaient nécessaires dans l'immédiat ou le deviendraient probablement dans un futur proche afin d'atteindre l'inflation visée par la banque centrale.
Le fléchissement inattendu des prix à la consommation du Royaume-Uni mis en évidence hier pour mai avait alimenté l'attente de nouveaux apports de capitaux de sa part, alors que l'inflation avait jusqu'à présent diminué moins rapidementt qu'elle ne l'espérait.
Il était d'autre part à noter qu'il y avait eu au cours de la même période 8 100 bénéficiaires supplémentaires des allocations pour les demandeurs d'emploi dans le pays, alors que 3 000 de moins étaient espérés.
Le taux de chômage demeurait toutefois stable à 8.2% comme prévu.
La monnaie unique demeurait encouragée par l'espoir que la Réserve Fédérale annonce après la conclusion en fin de journée de sa réunion d'orientation des mesures stimulatrices après une série de performances économiques décevantes de la part des Etats-Unis.
Le taux des obligations décennales espagnoles est d'autre part retombé à 6.9%, après avoir battu en début de semaine ses valeurs les plus élevées depuis l'introduction de la monnaie unique, sur fond de crainte que Madrid ne doive recourir à un plan de sauvetage complet.
La devise européenne dominait aussi de peu le dollar U.S. et le yen, l'EUR/USD grignotant 0.11% pour se hisser à 1.2698 et l'EUR/JPY arrachant 0.12% pour grimper à 100.25.
La banque centrale américaine révèlera quand à elle son taux d'intérêt en fin de journée, après quoi Ben Bernanke, son président, tiendra une conférence de presse au sujet du cap qui aura été pris.