Investing.com - Le dollar U.S. a redressé la barre face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, les craintes au sujet de la politique fiscale américaine et la perspective de la décision des représentants hellènes au sujet d'un budget de rigueur poussant dans les bras des valeurs sûres.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui jusqu'à un creux de deux mois, l'EUR/USD perdant 0.4% pour chuter à 1.2762.
La monnaie unique se retrouvait de nouveau sur la sellette, alors que le parlement grec s'apprêtait à voter aujourd'hui à propos du plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières.
Une étude de source gouvernementale avait auparavant signalé que la production industrielle allemande avait dérapé de 1.8% en septembre, au lieu des 0.5% déjà redoutés, aggravant la crainte d'un affaiblissement de la plus grosse économie régionale.
Il avait précédement été à noter que celle du secteur secondaire espagnol avait dégringolé de 7% dans le même temps, soit près du double des 3.6% envisagés par les experts.
Des informations émanant des autorités avaient également signalé que les ventes au détail régionales avaient trébuché de 0.2% en septembre, au lieu des 0.1% déjà redoutés.
La réélection du président sortant Barack Obama avait nui ce matin à l'étalon américain, en renforçant l'attente d'une poursuite de la politique monétaire assouplie de la Réserve Fédérale.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.11% pour descendre à 1.5976.
Il a par contre subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0.3% pour se retrouver à 80.11, mais a fait mieux que résister à celle du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0.28% pour se hisser à 0.9455.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant fait savoir que ses réserves de devises avaient chuté depuis leur record de 429.5 milliards de CHF jusqu'à 424.4 milliards pour octobre, laissant du coup à penser qu'elle avait réduit l'ampleur de ses opérations sur le marché des changes destinées à maintenir le plafond de 1.2 par rapport à l'euro.
Des chiffres officiels montraient quand à eux que les prix à la consommation avaient frémi de seulement 0.01% dans le même temps, au lieu des 0.3% envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.05% pour aller vers 0.9926, l'AUD/USD laissant échapper 0.01% pour s'établir à 1.0431 et le NZD/USD engrangeant 0.06% pour culminer à 0.8278.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.28% pour se situer à 80.94.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, s'apprêtait de son côté à révéler en fin de journée les prévisions économiques d'automne de l'UE.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui jusqu'à un creux de deux mois, l'EUR/USD perdant 0.4% pour chuter à 1.2762.
La monnaie unique se retrouvait de nouveau sur la sellette, alors que le parlement grec s'apprêtait à voter aujourd'hui à propos du plan d'austérité nécessaire à l'attribution de la prochaine tranche d'aides financières.
Une étude de source gouvernementale avait auparavant signalé que la production industrielle allemande avait dérapé de 1.8% en septembre, au lieu des 0.5% déjà redoutés, aggravant la crainte d'un affaiblissement de la plus grosse économie régionale.
Il avait précédement été à noter que celle du secteur secondaire espagnol avait dégringolé de 7% dans le même temps, soit près du double des 3.6% envisagés par les experts.
Des informations émanant des autorités avaient également signalé que les ventes au détail régionales avaient trébuché de 0.2% en septembre, au lieu des 0.1% déjà redoutés.
La réélection du président sortant Barack Obama avait nui ce matin à l'étalon américain, en renforçant l'attente d'une poursuite de la politique monétaire assouplie de la Réserve Fédérale.
La livre sterling lui a également cédé quelques pouces de terrain, le GBP/USD trébuchant de 0.11% pour descendre à 1.5976.
Il a par contre subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0.3% pour se retrouver à 80.11, mais a fait mieux que résister à celle du franc suisse, l'USD/CHF grimpant de 0.28% pour se hisser à 0.9455.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant fait savoir que ses réserves de devises avaient chuté depuis leur record de 429.5 milliards de CHF jusqu'à 424.4 milliards pour octobre, laissant du coup à penser qu'elle avait réduit l'ampleur de ses opérations sur le marché des changes destinées à maintenir le plafond de 1.2 par rapport à l'euro.
Des chiffres officiels montraient quand à eux que les prix à la consommation avaient frémi de seulement 0.01% dans le même temps, au lieu des 0.3% envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominée ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.05% pour aller vers 0.9926, l'AUD/USD laissant échapper 0.01% pour s'établir à 1.0431 et le NZD/USD engrangeant 0.06% pour culminer à 0.8278.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.28% pour se situer à 80.94.
Olli Rehn, commissaire aux affaires économiques et monétaires de l'Union Européenne, s'apprêtait de son côté à révéler en fin de journée les prévisions économiques d'automne de l'UE.