Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce lundi, les observateurs guettant la diffusion d'un rapport sur l'activité manfacturière après que les résultats médiocres de la zone euro aient ravivé la crainte qu'un retour en récession de la région.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
La confiance des investisseurs avait fléchi après que les autorités européennes aient avoué que le taux de chômage du bloc euro avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Le moral avait pourtant repris des couleurs en début de matinée, les craintes concernant la croissance économique chinoise ayant été apaisées par des informations montrant que l'activité du secteur secondaire de la Chine avait davantage progressé en mars qu'espéré.
Les ministres des finances de la zone euro s'étaient pour leur part mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
Le domaine énergétique était sur le devant de la scène alors que Total, poids lourd français des hydrocarbures, l'apprêtait à convoyer aériennement des spécialistes vers sa plate-forme de la Mer du Nord afin de leur faire mettre au point un plan d'obturation du puits depuis lequel fuit du gaz depuis la semaine dernière.
Un procureur brésilien a pour sa part réclamé cette semaine une injonction interdisant au géant du pétrole américainn Chevron et à l'opérateur de forages Transocean d'exercer au Brésil dans le cadre de la plainte environnementale record pour 10.9 milliards d'USD concernant la marée noire de novembre, mais le second a gagné 0.66% sur les transactions de pré-ouverture.
AVI Biopharma était par ailleursr attendu au tournant, les observateurs attendant de savoir si les résultats des tests cliniques de son traitment pour la dystrophie musculaire de Duchenne s'avéraient prometteurs ou non.
En ce qui concerne la finance, Visa a rayé le gestionnaire de paiements Global Payments de sa liste de sous-traitants approuvés après qu'il ait subi un piratage informatique de grande ampleur, pouvant rendre les possesseurs de cartes Visa, MasterCard, American Express et Discover vulnérables à des fraudes.
Ce dernier a toutefois déclaré estimer que moins d'un million et demi de coordonnées de cartes avaient été subtilisés lors de l'intrusion.
Il a d'autre part été rapporté que Goldman Sachs serait en train d'envisager la mise en place d'un fonds de 3 milliards d'USD pour les investisseurs immobiliers visant des placements à hauts risques mais fortement rémunérateurs.
Apple a pour sa part avancé de 0.48% avant l'ouverture après que son fournisseur Foxconn se soit engagé dimanche à poursuivre les augmentations des salaires des ouvriers de ses usines et à diminuer les temps de travail.
Parmi les performances révélées, Groupon devrait être sous les feux de la rampe, après que son site d'achats groupés ait avoué avoir vu ses bénéfices diminuer au quatrième trimestre en raison des retours client.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.56%, et le CAC 40 français de 0.34%, le DAX 30 allemand arrachant tout de même 0.12% et le FTSE 100 britannique glissantt de 0.13%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé filer 0.6%, mais le Nikkei 225 japonais avait conquis 0.2%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
La confiance des investisseurs avait fléchi après que les autorités européennes aient avoué que le taux de chômage du bloc euro avait atteint sans surprise en février un nouveau sommet historique à 10.8%, contre 10.7% auparavant.
Le moral avait pourtant repris des couleurs en début de matinée, les craintes concernant la croissance économique chinoise ayant été apaisées par des informations montrant que l'activité du secteur secondaire de la Chine avait davantage progressé en mars qu'espéré.
Les ministres des finances de la zone euro s'étaient pour leur part mis d'accord vendredi pour renforcer le pare-feu antidette, mais l'incertitude concernant la capacité de celui-ci à empêcher la contamination de l'Espagne et de l'Italie demeurait palpable.
Le domaine énergétique était sur le devant de la scène alors que Total, poids lourd français des hydrocarbures, l'apprêtait à convoyer aériennement des spécialistes vers sa plate-forme de la Mer du Nord afin de leur faire mettre au point un plan d'obturation du puits depuis lequel fuit du gaz depuis la semaine dernière.
Un procureur brésilien a pour sa part réclamé cette semaine une injonction interdisant au géant du pétrole américainn Chevron et à l'opérateur de forages Transocean d'exercer au Brésil dans le cadre de la plainte environnementale record pour 10.9 milliards d'USD concernant la marée noire de novembre, mais le second a gagné 0.66% sur les transactions de pré-ouverture.
AVI Biopharma était par ailleursr attendu au tournant, les observateurs attendant de savoir si les résultats des tests cliniques de son traitment pour la dystrophie musculaire de Duchenne s'avéraient prometteurs ou non.
En ce qui concerne la finance, Visa a rayé le gestionnaire de paiements Global Payments de sa liste de sous-traitants approuvés après qu'il ait subi un piratage informatique de grande ampleur, pouvant rendre les possesseurs de cartes Visa, MasterCard, American Express et Discover vulnérables à des fraudes.
Ce dernier a toutefois déclaré estimer que moins d'un million et demi de coordonnées de cartes avaient été subtilisés lors de l'intrusion.
Il a d'autre part été rapporté que Goldman Sachs serait en train d'envisager la mise en place d'un fonds de 3 milliards d'USD pour les investisseurs immobiliers visant des placements à hauts risques mais fortement rémunérateurs.
Apple a pour sa part avancé de 0.48% avant l'ouverture après que son fournisseur Foxconn se soit engagé dimanche à poursuivre les augmentations des salaires des ouvriers de ses usines et à diminuer les temps de travail.
Parmi les performances révélées, Groupon devrait être sous les feux de la rampe, après que son site d'achats groupés ait avoué avoir vu ses bénéfices diminuer au quatrième trimestre en raison des retours client.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.56%, et le CAC 40 français de 0.34%, le DAX 30 allemand arrachant tout de même 0.12% et le FTSE 100 britannique glissantt de 0.13%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé filer 0.6%, mais le Nikkei 225 japonais avait conquis 0.2%.
Les Etats-Unis devraient quand à eux voir l'institut de gestion des approvisionnements ISM dévoiler cet après-midi ses résultats de l'activité manufacturière nationale.