Investing.com - Le dollar U.S. a laissé le yen prendre l'avantage ce mercredi matin, alors que le Nikkei 225 subissait la volatilité des transactions de fin de mois, mais ses pertes demeuraient limitées par les belles performances économiques là où il a cours dévoilées hier.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 102,03 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers &àé,06, perdant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,25, son plancher du 14 mai, et de rencontrer de la résistance à 102,51, son plafond du jour.
Le couple avait bondi de 1,4% hier après qu'il ait été montré que la confiance des consommateurs américains avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet vu son baromètre de l'humeur des particuliers passer de 69,0 à 76,2 pour mai, au lieu des 71,0 espérés.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements des Etats-Unis établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
Ces bonnes nouvelles ont amplifié les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La devise nippone a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY glissant de 0,17% pour déraper à 131,32.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 102,03 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers &àé,06, perdant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 101,25, son plancher du 14 mai, et de rencontrer de la résistance à 102,51, son plafond du jour.
Le couple avait bondi de 1,4% hier après qu'il ait été montré que la confiance des consommateurs américains avait grimpé au cours du mois vers son plus haut niveau depuis février 2008.
Le groupe de recherches sur les marchés Conference Board a en effet vu son baromètre de l'humeur des particuliers passer de 69,0 à 76,2 pour mai, au lieu des 71,0 espérés.
Il était aussi à noter que l'indice des prix des logements des Etats-Unis établi par Case-Schiller avait grimpé pour mars de 10,9% d'une année sur l'autre, constituant son plus gros sursaut depuis avril 2006.
Ces bonnes nouvelles ont amplifié les bruits selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
La devise nippone a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY glissant de 0,17% pour déraper à 131,32.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.