Investing.com - L'euro était en berne face à presque tous ses principaux concurrents ce lundi après-midi, la nervosité restant de mise en raison des incertitudes au sujet d'un éventuel recours de l'Espagne à un plan de secours total, tout en subissant des résultats allemands peu encourageants.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.42% pour tomber à 1.2925.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée davantage sur la sellette après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet révélé que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 102.3 en août à 101.4, subissant ainsi son cinquième mois de recul d'affilée, au lieu de s'élever jusqu'aux 102.5 espérés.
Le poids du flou pesant sur les intentions de l'Espagne s'est aussi fait sentir.
La prudence restait en effet de mise, Madrid devant présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP chutant de 0.28% pour se retrouver à 0.7975.
Le yen et le franc suisse lui ont également fait subir leur pression, l'EUR/JPY dérapant de 0.57% pour glisser à 100.86 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.15% pour reprendre pied à 1.2094.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque du Japon, publié en début de matinée, avait quand à lui montré que ses décideurs estimaient que les perspectives économiques mondiales étaient toujours entachées d'un anque de certitudes, et que les assouplissements monétaires devraient se poursuivre.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par contre éprouvé sa domination, l'EUR/AUD grignotant 0.04% pour se hisser à 1.2415, l'EUR/CAD arrachant 0.03% pour frémir à 1.2677 et l'EUR/NZD engrangeant 0.5% pour culminer à 1.5735.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.
En début de seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le dollar U.S. avec un couple EUR/USD perdant 0.42% pour tomber à 1.2925.
La monnaie unique s'est en effet retrouvée davantage sur la sellette après qu'il ait été révélé que l'humeur des entreprises de l'Allemagne s'était retrouvée en septembre à son pire niveau depuis mars 2010, en raison des craintes concernant le problème du surendettement régional.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a en effet révélé que son baromètre de la confiance dans les entreprises était passé de 102.3 en août à 101.4, subissant ainsi son cinquième mois de recul d'affilée, au lieu de s'élever jusqu'aux 102.5 espérés.
Le poids du flou pesant sur les intentions de l'Espagne s'est aussi fait sentir.
La prudence restait en effet de mise, Madrid devant présenter jeudi le premier jet de son budget 2013 et annoncer des réformes économiques majeures, tandis que les résultats du test d'effort des banques nationales devraient être connus le lendemain, tandis que l'agence de notation Moody's procèdera à la révision de sa notation.
Le ministre de l'économie a pour sa part affirmé que le gouvernement ne se précipiterait pas pour demander une aide financière extérieure, bien que la pression pour le faire aille en augmentant.
Il en était de même avec la livre sterling, l'EUR/GBP chutant de 0.28% pour se retrouver à 0.7975.
Le yen et le franc suisse lui ont également fait subir leur pression, l'EUR/JPY dérapant de 0.57% pour glisser à 100.86 et l'EUR/CHF trébuchant de 0.15% pour reprendre pied à 1.2094.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque du Japon, publié en début de matinée, avait quand à lui montré que ses décideurs estimaient que les perspectives économiques mondiales étaient toujours entachées d'un anque de certitudes, et que les assouplissements monétaires devraient se poursuivre.
Ses homologues australienne, canadienne et néo-zélandaise ont par contre éprouvé sa domination, l'EUR/AUD grignotant 0.04% pour se hisser à 1.2415, l'EUR/CAD arrachant 0.03% pour frémir à 1.2677 et l'EUR/NZD engrangeant 0.5% pour culminer à 1.5735.
La Grèce demeurait elle aussi source d'angoisse, alors qu'Athènes se préparait à dévoiler en fin de semaine une série de coupes budgétaires supplémentaires exigées par les bailleurs de fonds internationaux, sur fond de rumeurs d'un déficit budgétaire dépassant les hypothèses les plus pessimistes.