Investing.com - La Bourse de Paris perdait 0,43% à mi-séance jeudi, alors que les investisseurs digéraient encore les conclusions décevantes de la réunion de politique monétaire de la Réserve fédérale et suivant une série de statistiques faibles en provenance de la zone euro.
La Fed a annoncé, mercredi soir, qu’elle revoyait à la baisse sa prévision de croissance pour 2012. La banque a, par ailleurs, décidé de prolonger l’opération ‘Twist’ jusqu’à la fin de l’année et indiqué qu’elle se tenait prête à agir de nouveau si nécessaire.
Le président Ben Bernanke n’a cependant pas évoqué de nouveau plan d’assouplissement quantitatif, allant ainsi à l’encontre des attentes d’une majorité d’analystes.
Sur le front macroéconomique, l'activité manufacturière a de nouveau ralenti en Chine au mois de juin pour atteindre son rythme le plus faible depuis sept mois, selon l'indice flash PMI calculé par HSBC, ressorti à 48,1 points, contre 48,4 en mai.
En Allemagne, l'indice PMI Markit composite est tombé à un plus bas de trois ans à 48,5 points, contre 49,3 en mai. Celui de la zone euro se maintient également sur un plus bas de près de trois ans à 46 points.
Contre la tendance, la contraction a ralenti en France, l'indice PMI Markit composite s'étant redressé à 46,7 points, son meilleur niveau depuis trois mois, contre 44,6 en mai.
Par ailleurs, l’Espagne a émis pour 2,2 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, soit plus que les 2 milliards prévus, à des rendements cependant en hausse.
Du côté des valeurs, les banques ont effacé leurs pertes de la matinée après l’adjudication espagnole. A mi-séance, BNP Paribas avançait de 0,56%, Société Générale prenait 0,06% et Crédit Agricole grappillait 0,03%.
GDF Suez s’octroyait 1,68% à mi-séance, alors que le journal Le Figaro rapportait plus tôt qu’un rapport d’expert judiciaire accuse le groupe de tenter de contourner le gel des tarifs du gaz imposé l’an dernier par le gouvernement par le biais de factures ‘surestimées’.
Les Echos révélaient, par ailleurs, qu’une hausse rétroactive des tarifs du gaz pour les particuliers pourrait survenir suivant les dernières indications du rapporteur public du Conseil d’Etat, selon lesquelles il faudrait annuler le gel du tarif réglementé du gaz.
A l’inverse, les valeurs cycliques s’inscrivaient dans le rouge, après les chiffres de l’activité manufacturière chinoise. ArcelorMittal abandonnait 1,61% à mi-séance et Vallourec reculait de 1,40%, tandis que Total pliait de 0,89%.
Peugeot perdait aussi 2,50% à mi-séance après avoir exprimé mercredi son soutien à Philippe Varin, au directoire qu'il préside ainsi qu'à la stratégie menée actuellement. Le poste de Varin semblait menacé après les reproches exprimés par la famille Peugeot au sujet des résultats du groupe automobile.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,32%, le DAX perdait 0,39% et le Footsie 100 reculait de 0,61%.
Quatre indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : les inscriptions hebdomadaires au chômage, suivies des ventes de logements anciens et les indicateurs avancés du Conference Board du mois dernier, ainsi que par l'indice d'activité de la Fed de Philadelphie en juin.
La Fed a annoncé, mercredi soir, qu’elle revoyait à la baisse sa prévision de croissance pour 2012. La banque a, par ailleurs, décidé de prolonger l’opération ‘Twist’ jusqu’à la fin de l’année et indiqué qu’elle se tenait prête à agir de nouveau si nécessaire.
Le président Ben Bernanke n’a cependant pas évoqué de nouveau plan d’assouplissement quantitatif, allant ainsi à l’encontre des attentes d’une majorité d’analystes.
Sur le front macroéconomique, l'activité manufacturière a de nouveau ralenti en Chine au mois de juin pour atteindre son rythme le plus faible depuis sept mois, selon l'indice flash PMI calculé par HSBC, ressorti à 48,1 points, contre 48,4 en mai.
En Allemagne, l'indice PMI Markit composite est tombé à un plus bas de trois ans à 48,5 points, contre 49,3 en mai. Celui de la zone euro se maintient également sur un plus bas de près de trois ans à 46 points.
Contre la tendance, la contraction a ralenti en France, l'indice PMI Markit composite s'étant redressé à 46,7 points, son meilleur niveau depuis trois mois, contre 44,6 en mai.
Par ailleurs, l’Espagne a émis pour 2,2 milliards d'euros d'obligations à moyen terme, soit plus que les 2 milliards prévus, à des rendements cependant en hausse.
Du côté des valeurs, les banques ont effacé leurs pertes de la matinée après l’adjudication espagnole. A mi-séance, BNP Paribas avançait de 0,56%, Société Générale prenait 0,06% et Crédit Agricole grappillait 0,03%.
GDF Suez s’octroyait 1,68% à mi-séance, alors que le journal Le Figaro rapportait plus tôt qu’un rapport d’expert judiciaire accuse le groupe de tenter de contourner le gel des tarifs du gaz imposé l’an dernier par le gouvernement par le biais de factures ‘surestimées’.
Les Echos révélaient, par ailleurs, qu’une hausse rétroactive des tarifs du gaz pour les particuliers pourrait survenir suivant les dernières indications du rapporteur public du Conseil d’Etat, selon lesquelles il faudrait annuler le gel du tarif réglementé du gaz.
A l’inverse, les valeurs cycliques s’inscrivaient dans le rouge, après les chiffres de l’activité manufacturière chinoise. ArcelorMittal abandonnait 1,61% à mi-séance et Vallourec reculait de 1,40%, tandis que Total pliait de 0,89%.
Peugeot perdait aussi 2,50% à mi-séance après avoir exprimé mercredi son soutien à Philippe Varin, au directoire qu'il préside ainsi qu'à la stratégie menée actuellement. Le poste de Varin semblait menacé après les reproches exprimés par la famille Peugeot au sujet des résultats du groupe automobile.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,32%, le DAX perdait 0,39% et le Footsie 100 reculait de 0,61%.
Quatre indicateurs américains étaient attendus dans l’après-midi : les inscriptions hebdomadaires au chômage, suivies des ventes de logements anciens et les indicateurs avancés du Conference Board du mois dernier, ainsi que par l'indice d'activité de la Fed de Philadelphie en juin.