Investing.com - L'euro a vu s'amenuiser ses gains face au dollar U.S. ce mardi, en abandonnant une grande partie constituée après que la Banque Nationale Suisse y ait lié sa monnaie en début de journée, la propulsant vers le haut.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.4245, son cours le plus élevé depuis vendredi, jusqu'à 1.4171 en début de seconde partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.52%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4037, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.4245, son plafond d'aujourd'hui.
La monnaie unique a réalisé de bonnes performances par rapport à la plupart de ses cncurrentes après que la BNS ait déclaré ce matin avoir mis en place un objectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro.
Elle a affirmé agir ainsi en raison des risques que l'énorme surévaluation de sa monnaie faisait courir à l'économie nationale, et notamment celui de déflation, ajoutant être prête à faire respecter ce taux plancher avec "la plus grande détermination", quitte à acquérir des devises étrangères "en quantités illimités" pour le faire.
L'euro avait auparavant plongé dans une ornière des deux derniers mois face au dollar U.S. après avoir été tiré vers le bas par la crainte d'une aggravation de la crise de la dette souveraine du bloc où il a cours.
Les investisseurs gardaient les yeux tournés vers l'Italie, dont le plan d'austérité peine à se mettre en place, tirant hier vers le haut les coûts des emprunts nationaux.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré pour juillet une chute significative des commandes auprès des usines allemandes, celles-ci plongeant pour la première fois en quatre mois suite à un fléchissement de la demande à l'exportation.
L'euro a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.39% pour se hisser à 0.8806.
Les ministres des finances de l'Allemagne, des Pays-Bas et de la Finlande devraient se rencontrer aujourd'hui afin de discuter du problème des garanties collatérales des prêts hellènes, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis publiera en cours d'après-midi une étude sur l'activité du secteur tertiaire, cruciale pour la santé économique.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.4245, son cours le plus élevé depuis vendredi, jusqu'à 1.4171 en début de seconde partie de séance européenne, gagnant tout de même 0.52%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4037, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.4245, son plafond d'aujourd'hui.
La monnaie unique a réalisé de bonnes performances par rapport à la plupart de ses cncurrentes après que la BNS ait déclaré ce matin avoir mis en place un objectif de taux de change minimal de 1.2 francs suisses par euro.
Elle a affirmé agir ainsi en raison des risques que l'énorme surévaluation de sa monnaie faisait courir à l'économie nationale, et notamment celui de déflation, ajoutant être prête à faire respecter ce taux plancher avec "la plus grande détermination", quitte à acquérir des devises étrangères "en quantités illimités" pour le faire.
L'euro avait auparavant plongé dans une ornière des deux derniers mois face au dollar U.S. après avoir été tiré vers le bas par la crainte d'une aggravation de la crise de la dette souveraine du bloc où il a cours.
Les investisseurs gardaient les yeux tournés vers l'Italie, dont le plan d'austérité peine à se mettre en place, tirant hier vers le haut les coûts des emprunts nationaux.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré pour juillet une chute significative des commandes auprès des usines allemandes, celles-ci plongeant pour la première fois en quatre mois suite à un fléchissement de la demande à l'exportation.
L'euro a également gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP prenant 0.39% pour se hisser à 0.8806.
Les ministres des finances de l'Allemagne, des Pays-Bas et de la Finlande devraient se rencontrer aujourd'hui afin de discuter du problème des garanties collatérales des prêts hellènes, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis publiera en cours d'après-midi une étude sur l'activité du secteur tertiaire, cruciale pour la santé économique.