Investing.com - Les bourses européennes étaient encore en forme ce mercredi, confortées dans leur offensive par les bonnes performances du secteur tertiaire espagnol, sur fond de confiance consolidée par les signes de progrès dans la gestion de la crise de la dette du bloc euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.62%, le CAC 40 français de 0.53%, et le DAX 30 allemand de 0.5%.
Le groupe de recherches économiques Markit a signalé ce matin que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté de 41.2 vers 42.4 pour novembre, alors que les experts redoutaient de le voir plonger à 41 pour la période considérée.
Le moral restait au beau fixe suite au lancement lundi par les autorités grecques d'un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, allégeant ainsi le fardeau de la dette du pays dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts de l'Italie et de l'Espagne ont quand à eux diminué après que cette dernière ait formulé une demande officielle de fonds devant permettre de recapitaliser son secteur bancaire.
La finance avait le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 1.76 et 1.4%, dépassés par les allemands Deutsche Bank et Comerzbank avec 1.68 et 2.09%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochant 2.35 et 1.81%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.04 et 0.81%.
Nokia Oyj, fabricant finnois de téléphones, raflait quand à lui 5.93% avec la présentation d'une version de son principal intelliphone spécialement étudiée pour China Mobile Ltd, premier opérateur de téléphonie mobile de Chine.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.54%, tiré vers le haut par des carburants et des exploitants ayant le vent en poupe.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 3.7%, son rival BP se contentant de 0.15% de miettes alors que l'extracteur Vedanta Resources s'élevait de 4.13%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas à négliger avec 2.94 et 2.38%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.29 et 3.43%.
La City emboîtait pour sa part le pas à ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland avançant de 0.71%, et Lloyds Banking de 0.7%, tandis que Barclays et HSBC Holdings caracolaient avec 0.85 et 0.98%.
Ce dernier avait auparavant fait savoir qu'il avait approuvé la vente de ses parts du chinois Ping An Insurance au milliardaire thaïlandais Dhanin Chearavanont pour 9.4 milliards d'USD, dans l'espoir de donner un coup de fouet à ses bénéfices et de se fournir en liquidités.
Les perspectives des marchés américains partageaient également cet optimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 aussi.
une autre étude menée par Markit avaut toutefois souligné dans la matinée que l'indice des gestionnaires des acquisitions dans le domaine des services de la France avait reculé sans crier gare depuis 46.1 jusqu'à 45.8 en novembre.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Les Etats-Unis attendront de leur côté le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale non agricole, ainsi que leurs chiffres officiels concernant les commandes auprès des usines et les réserves de pétrole brut, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité tertiaire.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.62%, le CAC 40 français de 0.53%, et le DAX 30 allemand de 0.5%.
Le groupe de recherches économiques Markit a signalé ce matin que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté de 41.2 vers 42.4 pour novembre, alors que les experts redoutaient de le voir plonger à 41 pour la période considérée.
Le moral restait au beau fixe suite au lancement lundi par les autorités grecques d'un plan de rachat de créances aux investisseurs privés, allégeant ainsi le fardeau de la dette du pays dans le cadre de l'accord lui débloquant l'accès aux 44 milliards d'euros de fonds de secours.
Les taux des emprunts de l'Italie et de l'Espagne ont quand à eux diminué après que cette dernière ait formulé une demande officielle de fonds devant permettre de recapitaliser son secteur bancaire.
La finance avait le sourire, les français BNP Paribas et Société Générale grimpant respectivement de 1.76 et 1.4%, dépassés par les allemands Deutsche Bank et Comerzbank avec 1.68 et 2.09%.
La périphérie n'était pas en reste, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo empochant 2.35 et 1.81%, suivis des espagnols BBVA et Banco Santander avec 1.04 et 0.81%.
Nokia Oyj, fabricant finnois de téléphones, raflait quand à lui 5.93% avec la présentation d'une version de son principal intelliphone spécialement étudiée pour China Mobile Ltd, premier opérateur de téléphonie mobile de Chine.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.54%, tiré vers le haut par des carburants et des exploitants ayant le vent en poupe.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, engrangeait 3.7%, son rival BP se contentant de 0.15% de miettes alors que l'extracteur Vedanta Resources s'élevait de 4.13%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas à négliger avec 2.94 et 2.38%, et les cuivriers Xstrata et Kazakhmys non plus avec 1.29 et 3.43%.
La City emboîtait pour sa part le pas à ses homologues continentaux, la Royal Bank of Scotland avançant de 0.71%, et Lloyds Banking de 0.7%, tandis que Barclays et HSBC Holdings caracolaient avec 0.85 et 0.98%.
Ce dernier avait auparavant fait savoir qu'il avait approuvé la vente de ses parts du chinois Ping An Insurance au milliardaire thaïlandais Dhanin Chearavanont pour 9.4 milliards d'USD, dans l'espoir de donner un coup de fouet à ses bénéfices et de se fournir en liquidités.
Les perspectives des marchés américains partageaient également cet optimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.41%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 aussi.
une autre étude menée par Markit avaut toutefois souligné dans la matinée que l'indice des gestionnaires des acquisitions dans le domaine des services de la France avait reculé sans crier gare depuis 46.1 jusqu'à 45.8 en novembre.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui le volume de ses ventes au détail, tandis que l'Espagne émettra des obligations décennales.
Les Etats-Unis attendront de leur côté le rapport de l'agence de gestion des ressources humaines ADP sur la masse salariale non agricole, ainsi que leurs chiffres officiels concernant les commandes auprès des usines et les réserves de pétrole brut, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra un rapport sur l'activité tertiaire.