Investing.com - Les options sur le brut étaient en net repli ce jeudi, après que la banque centrale des Etats-Unis ait rappelé qu'elle pourrait diminuer le volume de ses rachats d'actifs d'ici la fin de l'année, après quoi la contre-performance des usines chinoises a aussi contribué à assombrir l'atmosphère.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 96,80 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1,7%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96,63 USD, leur cours le plus bas depuis le 14 juin, avec un passage à vide de 1,9%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Elle a précisé s'attendre à une croissance nationale se situant entre 2,3 et 2,6% en 2013, et à ce que le taux de chômage soit rabaissé entre 6,5 et 6,8% avant que l'année 2014 soit achevée, et que l'inflation devrait se raprocher des 2% visés.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Ces signes ont du coup redonné un coup de fouet général au dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, empochait quand à lui 0,5% pour se situer à 81,86, son plus haut niveau en deux semaines.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Il a aussi été noté à l'aube que la première évaluation l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par la banque HSBC avait plongé depuis 49,2 vers 48,3 pour juin, son pire niveau en neuf mois, en raison d'une diminution des nouvelles commandes, laissant redouter une aggravation de l'essoufflement de son secteur secondaire.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont coulé de 1,5% pour déraper à 104,58 USD du baril dans le même temps, soit 7,78 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 96,80 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 1,7%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 96,63 USD, leur cours le plus bas depuis le 14 juin, avec un passage à vide de 1,9%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a en effet affirmé hier que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée, et qu'elle pourrait même les interrompre d'ici la mi-2014 au cas où l'économie connaîtrait la relance qu'elle espère.
Elle a précisé s'attendre à une croissance nationale se situant entre 2,3 et 2,6% en 2013, et à ce que le taux de chômage soit rabaissé entre 6,5 et 6,8% avant que l'année 2014 soit achevée, et que l'inflation devrait se raprocher des 2% visés.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Ces signes ont du coup redonné un coup de fouet général au dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, empochait quand à lui 0,5% pour se situer à 81,86, son plus haut niveau en deux semaines.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Il a aussi été noté à l'aube que la première évaluation l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par la banque HSBC avait plongé depuis 49,2 vers 48,3 pour juin, son pire niveau en neuf mois, en raison d'une diminution des nouvelles commandes, laissant redouter une aggravation de l'essoufflement de son secteur secondaire.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont coulé de 1,5% pour déraper à 104,58 USD du baril dans le même temps, soit 7,78 USD de mieux que leurs homologues américaines.