Investing.com - Les places d'Asie concluaient sur une note morose ce jeudi matin, celles du Japon se retrouvant en déclin alors que les évolutions de la monnaie et du marché obligataire locaux restaient scrutées de près.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1,1%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais 0,9% après des échanges en dents de scie.
Sydney plongeait à son pire niveau en cinq mois, l'affaiblissement de la devise de l'Australie ayant entraîné des nouvelles reventes de valeurs fortement rentables, comme celles des établissements bancaires.
Un net amenuisement du dollar australien rend en effet les dividendes relativement élevés payés par les entreprises locales moins attractifs pour les investisseurs étrangers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a ainsi sombré, l'ANZ Banking Group limitant les dégâts à 0,9% et le Westpac Banking Group en lanterne rouge avec 1,3%.
Hong Kong subissait pour sa part les incertitudes au sujet de l'économie chinoise.
Le secteur financier suivait la tendance, la China Construction Bank laissant échapper 0,7% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,3%.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, coulant de 1,2%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo était toujours sur la sellette alors que le yen lorgnait sur un sommet de trois semaines par rapport à son homologue américain, la paire USD/JPY descendant jusqu'à 98,85, après avoir culminé la veille à 100,45.
Les grands noms de l'exportation ont du coup souffert, les constructeurs automobiles Honda et Toyota dérapant ainsi de 2,5 et 1,6%, suivis de Sharp et Sony avec 5 et 2%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, s'écroulant de 1,2%, tandis que le Mizuho Financial Group et le courtier Nomura Holdings faisaient de même avec respectivement 2 et 1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement enthousiaste sans excès, dans l'expectative du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3% aussi.
La BCE campera probablement sur ses positions à l'issue de sa prise de cap de la seconde partie de journée, mais sa conférence de presse qui s'ensuivra, tenue par son président Mario Draghi, sera suivie de près.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1,1%, le Hang Seng de Hong Kong 1% et le Nikkei 225 japonais 0,9% après des échanges en dents de scie.
Sydney plongeait à son pire niveau en cinq mois, l'affaiblissement de la devise de l'Australie ayant entraîné des nouvelles reventes de valeurs fortement rentables, comme celles des établissements bancaires.
Un net amenuisement du dollar australien rend en effet les dividendes relativement élevés payés par les entreprises locales moins attractifs pour les investisseurs étrangers.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a ainsi sombré, l'ANZ Banking Group limitant les dégâts à 0,9% et le Westpac Banking Group en lanterne rouge avec 1,3%.
Hong Kong subissait pour sa part les incertitudes au sujet de l'économie chinoise.
Le secteur financier suivait la tendance, la China Construction Bank laissant échapper 0,7% et l'Industrial and Commercial Bank of China, premier prêteur chinois, 1,3%.
Le poids lourd HSBC Holdings a aussi contribué à la tendance, coulant de 1,2%, alors qu'il compte pour 15% dans l'indice local, dont il est le constituant primordial.
Tokyo était toujours sur la sellette alors que le yen lorgnait sur un sommet de trois semaines par rapport à son homologue américain, la paire USD/JPY descendant jusqu'à 98,85, après avoir culminé la veille à 100,45.
Les grands noms de l'exportation ont du coup souffert, les constructeurs automobiles Honda et Toyota dérapant ainsi de 2,5 et 1,6%, suivis de Sharp et Sony avec 5 et 2%.
Les mégabanques nippones n'étaient pas en reste, le Mitsubishi UFJ Financial Group, en tête dans le pays, s'écroulant de 1,2%, tandis que le Mizuho Financial Group et le courtier Nomura Holdings faisaient de même avec respectivement 2 et 1%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui nettement enthousiaste sans excès, dans l'expectative du conseil de direction de la Banque Centrale Européenne.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une hausse de 0,4%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,4%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,3% et sur le FTSE 100 britannique à 0,3% aussi.
La BCE campera probablement sur ses positions à l'issue de sa prise de cap de la seconde partie de journée, mais sa conférence de presse qui s'ensuivra, tenue par son président Mario Draghi, sera suivie de près.