Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce jeudi matin, malgré des chiffres de la croissance régionale supérieurs aux espérances, subissant un regain de doute concernant le moment où son émettrice commencera à fermer les robinets.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,24%, le CAC 40 français de 0,21%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
Les cours avaient avancé hier, après qu'il ait été montré que la croissance y avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Une expansion de 0,3% a ainsi été constatée du début avril à la fin juin, constituant ainsi la meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Mis la prudence restait de mise après qu'il ait été révélé que les coûts de production aux Etats-Unis avaient été stables le mois passé, et que l'indice des prix à la production de base avait moins augmenté que prévu.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,47%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale grignotaient respectivement 0,10 et 0,07%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA trébuchant de 0,26 et 0,01%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochaient au contraire 0,60 et 0,23%.
Oriflame dégringolait pour sa part de 5,36% malgré des bénéfices dépassant, avec 42,2 millions d'euros, les prédictions pour le second trimestre, son chiffre d'affaires de 360 millions ayant déçu.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,43%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondaient ainsi de 1,12 et 0,57%, et Evraz de 2,66%, tandis que sur le front de l'industrie pharmaceutique, AstraZeneca n'était pas épargné avec 2,02%.
La City arborait par contre majoritairement un sourire, Barclays grignotant 0,05%, HSBC Holdings 0,10% et la Royal Bank of Scotland 1,80%, Lloyds Banking jouant cependant le vilain petit canard avec un faux pas de 0,49%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,46%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,24%, le CAC 40 français de 0,21%, et le DAX 30 allemand de 0,50%.
Les cours avaient avancé hier, après qu'il ait été montré que la croissance y avait sorti la tête de l'eau, après 18 mois de vaches maigres.
Une expansion de 0,3% a ainsi été constatée du début avril à la fin juin, constituant ainsi la meilleure performance depuis les trois premiers mois de l'année 2011.
Mis la prudence restait de mise après qu'il ait été révélé que les coûts de production aux Etats-Unis avaient été stables le mois passé, et que l'indice des prix à la production de base avait moins augmenté que prévu.
Ces résutats ont du coup semé le doute sur la capacité des reins de la relance nationale à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,47%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale grignotaient respectivement 0,10 et 0,07%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA trébuchant de 0,26 et 0,01%, tandis que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochaient au contraire 0,60 et 0,23%.
Oriflame dégringolait pour sa part de 5,36% malgré des bénéfices dépassant, avec 42,2 millions d'euros, les prédictions pour le second trimestre, son chiffre d'affaires de 360 millions ayant déçu.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, se rétractait de 0,43%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Le mastodonte minier BHP Billiton et le poids lourd des hydrocarbures Anglo American fondaient ainsi de 1,12 et 0,57%, et Evraz de 2,66%, tandis que sur le front de l'industrie pharmaceutique, AstraZeneca n'était pas épargné avec 2,02%.
La City arborait par contre majoritairement un sourire, Barclays grignotant 0,05%, HSBC Holdings 0,10% et la Royal Bank of Scotland 1,80%, Lloyds Banking jouant cependant le vilain petit canard avec un faux pas de 0,49%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,17% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,46%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec une série de statistiques portant notamment sur l'inflation au détail, les inscriptions au chômage, la production industrielle, et enfin les résultats manufacturiers émanant des réserves fédérales de New York et Philadelphie.