Investing.com - La livre sterling a limité les dégâts face au dollar U.S. lors d'échanges prudents ce jeudi après-midi, les craintes concernant les perspectives de croissance mondiales continuant à freiner la demande pour les valeurs les plus rémunératrices.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5658, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.5696 en seconde partie de séance européenne, perdant tout de même 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5658, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5776, son plafond mensuel datant de mercredi.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet repris du poil de la bête après que le bureau national des statistiques britannique ait annoncé que les ventes aux particuliers avaient gagné 1.4% en mai, dépassant ainsi les 1.2% espérés.
Celles du mois précédent ont quand à elles vu l'importance de leur dégringolade s'aggraver après révision, dérapant ainsi de 2.4% au lieu des 2.3% préalablementt estimés.
Les inquiétudes concernant l'expension économique mondiale étaient passées au premier plan après qu'une étude ait montré que l'activité secondaire du bloc euro avait subi en juin sa régression la plus importante depuis le même mois de l'année 2009.
Une autre évaluation signalait de son côté que celle des usines allemandes avait molli dans le même temps jusqu'à son rythme le plus lent des trois dernières années, la crise de la dette régionale nuisant aux exportations.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était demeuré en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La nervosité se trouvait exacerbée par l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Madrid a quand à elle émis légèrement plus que les 2 milliards d'euros de dettes envisagés, mais les coûts de ses emprunts ont toutefois nettement augmenté.
Les taux moyens de ses obligations quinquennales sont en effet passés de 4.96% pour le mois dernier à 6.07%.
Le billet vert demeurait favorisé après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part des Etats-Unis.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre fait céder quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant 0.11% pour glisser à 0.8074.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui révéler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5658, son cours le plus bas du jour, jusqu'à 1.5696 en seconde partie de séance européenne, perdant tout de même 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5658, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1.5776, son plafond mensuel datant de mercredi.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet repris du poil de la bête après que le bureau national des statistiques britannique ait annoncé que les ventes aux particuliers avaient gagné 1.4% en mai, dépassant ainsi les 1.2% espérés.
Celles du mois précédent ont quand à elles vu l'importance de leur dégringolade s'aggraver après révision, dérapant ainsi de 2.4% au lieu des 2.3% préalablementt estimés.
Les inquiétudes concernant l'expension économique mondiale étaient passées au premier plan après qu'une étude ait montré que l'activité secondaire du bloc euro avait subi en juin sa régression la plus importante depuis le même mois de l'année 2009.
Une autre évaluation signalait de son côté que celle des usines allemandes avait molli dans le même temps jusqu'à son rythme le plus lent des trois dernières années, la crise de la dette régionale nuisant aux exportations.
Ces mauvaises nouvelles avaient déjà été précédées par un rapport signalant que l'indice HSBC des directeurs des achats du secteur secondaire chinois pour juin était demeuré en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée.
La nervosité se trouvait exacerbée par l'attente des résultats de l'audit des établissements bancaires de l'Espagne dont la divulgation devrait se dérouler aujourd'hui, sur fond de craintes que les 100 milliards d'euros de secours attribués à ces derniers en début de mois se révèlent insuffisants.
Madrid a quand à elle émis légèrement plus que les 2 milliards d'euros de dettes envisagés, mais les coûts de ses emprunts ont toutefois nettement augmenté.
Les taux moyens de ses obligations quinquennales sont en effet passés de 4.96% pour le mois dernier à 6.07%.
Le billet vert demeurait favorisé après que la banque centrale américaine n'ait annoncé que le prolongement de son programme de rachats de bons du trésor jusqu'à la fin de l'année, décevant ainsi ceux qui attendaient des mesures plus agressives, suite à une récente série de résultats médiocres de la part des Etats-Unis.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre fait céder quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant 0.11% pour glisser à 0.8074.
Le gouvernement américain comptait quannd à lui révéler cet après-midi le nombre des nouvelles inscriptions au chômage, suivi de l'estimation préalable de l'activité manufacturière et d'un rapport des experts en immobilier portant sur les ventes de logements, sans oublier l'état de l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie.