Investing.com - Les options sur l'or étaient parties du mauvais pied ce jeudi, les observateurs guetttant les résultats de la réunion de la Banque Centrale Européenne ayant lieu aujourd'hui.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 647.35 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 642.45 USD, leur pire cours depuis le 25 avril, avec un recul de 0.7%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 625.55 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 672.15 USD, leur plafond du premier mai.
Les acteurs du marché aurifère guettaient ce qui devait émerger en cour de journée de la réunion de la Banque Centrale Européenne, et de la conférence tenue dans la foulée par Mario Draghi, son président, sur fond de craintes concernant les coûts élevés des emprunts des pays membres périphériques en difficulté de la région, et plus particulièrement de l'Espagne.
Ses taux devraient vraiemblablement être maintenus, mais des indices pourraient émerger concernant ses prochaines actions dans la gestion de la crise de la dette souveraine.
L'atmosphère s'était trouvée nettement assombrie mercredi, avec une avalanche de performances médiocres de la part des Etats-Unis et de la zone euro, ravivant les craintes concernant les perspectives de croissance économique mondiale.
Le taux de chômage du bloc euro s'est en effet élevé vers un nouveau record à 10.7% pour mars, tandis que son indice manufacturier définitif s'effondrait en avril à son pire niveau des 34 derniers mois.
Une étude publiée hier par l'agence de gestion des ressources humaines ADP montrait quand à elle que le seccteur privé des Etats-Unis avait créé 119 000 postes non agricoles les mois dernier, soit nettement moins que les 177 000 espérés, et représentant la plus faible progression du marché du travail constatée depuis septembre 2011.
Cette déception a ravivé l'angoisse d'un ralentissement de la relance économique des Etats-Unis, à l'approche d'un rapport gouvernemental sur les emplois devant être publié demain, et qui avait montré un ralentissement des embauches en mars.
Ces revers ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit de la sécurité relative du dollar U.S.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs chuté de 0.45% pour se retrouver à 30.51 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.3% pour descendre à 3.776 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 647.35 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.4%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 642.45 USD, leur pire cours depuis le 25 avril, avec un recul de 0.7%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 625.55 USD, leur plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1 672.15 USD, leur plafond du premier mai.
Les acteurs du marché aurifère guettaient ce qui devait émerger en cour de journée de la réunion de la Banque Centrale Européenne, et de la conférence tenue dans la foulée par Mario Draghi, son président, sur fond de craintes concernant les coûts élevés des emprunts des pays membres périphériques en difficulté de la région, et plus particulièrement de l'Espagne.
Ses taux devraient vraiemblablement être maintenus, mais des indices pourraient émerger concernant ses prochaines actions dans la gestion de la crise de la dette souveraine.
L'atmosphère s'était trouvée nettement assombrie mercredi, avec une avalanche de performances médiocres de la part des Etats-Unis et de la zone euro, ravivant les craintes concernant les perspectives de croissance économique mondiale.
Le taux de chômage du bloc euro s'est en effet élevé vers un nouveau record à 10.7% pour mars, tandis que son indice manufacturier définitif s'effondrait en avril à son pire niveau des 34 derniers mois.
Une étude publiée hier par l'agence de gestion des ressources humaines ADP montrait quand à elle que le seccteur privé des Etats-Unis avait créé 119 000 postes non agricoles les mois dernier, soit nettement moins que les 177 000 espérés, et représentant la plus faible progression du marché du travail constatée depuis septembre 2011.
Cette déception a ravivé l'angoisse d'un ralentissement de la relance économique des Etats-Unis, à l'approche d'un rapport gouvernemental sur les emplois devant être publié demain, et qui avait montré un ralentissement des embauches en mars.
Ces revers ont poussé les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées, comme les actions et les matières premières, au profit de la sécurité relative du dollar U.S.
Les cours de l'or ont tendance à descendre quand ce dernier monte, le rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs chuté de 0.45% pour se retrouver à 30.51 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont laissé échapper 0.3% pour descendre à 3.776 USD la livre dans le même temps.