Investing.com - La livre sterling a bien résisté face au dollar U.S. lors des échanges raréfiés de ce jeudi, les observateurs étant tous tournés vers les mises aux enchères de dettes italiennes devant avoir lieu aujourd'hui sur fond d'inquiétudes concernant la gestion de la crise de la dette de la zone euro.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5429 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 14 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5452, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5408, son plancher du 14 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5528, son plafond du 15.
De nombreux acteurs des marchés étaient déjà partis en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.82%, retombant juste sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro, qui persistaient après qu'il ait été signalé en début de semaine que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre arraché quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.1% pour glisser à 0.8363.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire gouvernemental sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5429 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 14 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.5452, trébuchant de 0.03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5408, son plancher du 14 décembre, et de rencontrer de la résistance à 1.5528, son plafond du 15.
De nombreux acteurs des marchés étaient déjà partis en vacances de fin d'année, réduisant les liquidités disponibles et augmentant la volatilité.
L'Italie devrait émettre aujourd'hui pour 8.5 milliards d'euros d'obligations dont les échéances s'étaleront entre 2014 et 2022.
L'Italie a écoulé hier pour 9 milliards d'euros de bons du trésor à six mois, à un taux moyen de 3.25%, après avoir tabli un record à 6.5% lors d'un évènement similaire s'étant déroulé en novembre.
Le taux des emprunts décennaux du pays est du coup retombé à 6.82%, retombant juste sous le seuil crucial des 7% largement considéré comme intenable à long terme.
Cette performance positive n'a toutefois pas fait oublier les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro, qui persistaient après qu'il ait été signalé en début de semaine que les banques avaient retiré un record de 452 milliards d'euros auprès du mécanisme rapide de la Banque Centrale Européenne, signe que les prêteurs régionaux étaient peu enclins à se fournir mutuellement des capitaux.
La devise de la Grande-Bretagne a par contre arraché quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.1% pour glisser à 0.8363.
Les Etats-Unis rendront dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire gouvernemental sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les chiffres des ventes de logements en cours émanant des spécialiste de l'immobilier, sans oublier le baromètre de l'activité commerciale dans la région de Chicago.