Investing.com - L'euro a repris la main face au dollar U.S. ce jeudi après-midi, profitant des signaux positifs de la région l'ayant adopté, tandis que les yeus se tournaient vers ceux issus de là où son adversaire a cours.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3237 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du our, puis s'est stabilisée vers 1,3212, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3133, son plancher du 22 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3255, son plafond de cinq semaines établi hier.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire après qu'il ait été révélé à la mi-journée que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après qu'il ait été montré que les nombre des transactions sur le marché des habitations nouvelles des Etats-Unis avait été le plus grand en cinq ans le mois passé, ravivant les rumeurs d'un tour de vis imminent de la part de la Réserve Fédérale.
Les observateurs guettaient désormais le rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis, ainsi que le volume de leurs commandes de biens durables, sur fond de spectre d'une diminution des aides de leur banque centrale.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,24% pour se hisser à 0,8638.
L'unité momnétaire de la Grande-Bretagne n'avait guère repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie où elle a cours s'était contentée d'évoluer conformément aux attentes entre début avril et fin juin.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait sans surprise gonflé de 1,4% d'une année sur l'autre au second trimestre, un net progrès par rapport aux 0,3% du premier.
Le Royaume-Uni a ainsi réalisé comme prévu une croissance trimestrielle de 0,6%, améliorant encore les 0,3% précédents.
Mais le yen a par contre exercé sa pression, l'EUR/JPY dérapant de 0,42% pour chuter à 131,80.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,3237 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du our, puis s'est stabilisée vers 1,3212, grignotant 0,09%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3133, son plancher du 22 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3255, son plafond de cinq semaines établi hier.
La monnaie unique avait retrouvé le sourire après qu'il ait été révélé à la mi-journée que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Le billet vert a en effet repris des couleurs après qu'il ait été montré que les nombre des transactions sur le marché des habitations nouvelles des Etats-Unis avait été le plus grand en cinq ans le mois passé, ravivant les rumeurs d'un tour de vis imminent de la part de la Réserve Fédérale.
Les observateurs guettaient désormais le rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis, ainsi que le volume de leurs commandes de biens durables, sur fond de spectre d'une diminution des aides de leur banque centrale.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,24% pour se hisser à 0,8638.
L'unité momnétaire de la Grande-Bretagne n'avait guère repris du poil de la bête après qu'il ait été montré que l'économie où elle a cours s'était contentée d'évoluer conformément aux attentes entre début avril et fin juin.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté que le produit intérieur brut avait sans surprise gonflé de 1,4% d'une année sur l'autre au second trimestre, un net progrès par rapport aux 0,3% du premier.
Le Royaume-Uni a ainsi réalisé comme prévu une croissance trimestrielle de 0,6%, améliorant encore les 0,3% précédents.
Mais le yen a par contre exercé sa pression, l'EUR/JPY dérapant de 0,42% pour chuter à 131,80.