Investing.com - Les options sur le brut étaient à peine en progression ce jeudi, oscillant entre petits gains et légères pertes, soutenues par un affaiblissement du dollar U.S. faisant remonter les cours, mais limitées par les craintes liées à l'accroissement des réserves américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 108.99 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.05%.
Ils avaient auparavant navigué entre 109.36 USD, leur cours le plus élevé du jour et 108.44 USD comme minimum journalier.
Les chiffres de l'emploi du domaine privé des Etats-Unis révélés mercredi montrant une croissance décevante et un ralentissement de l'activité du secteur tertiaire ont renforcé l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale ne devrait pas faire progresser ses taux dans les mois à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.4% pour se stabiliser à 73.03 après avoir touché le fond à 72.98.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix ont toutefois été limités par l'inquiétude d'un éventuel essoufflement de la demande des Etats-Unis, premiers consommateurs au monde.
Les chiffres officiels avaient fait savoir hier que les réserves américaines de pétrole brut avaient atteint au cours de la semaine achevée le 29 avril leur plus haut niveau depuis octobre, engrangeant 3.4 millions de barils alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir prendre que 1.9 millions de barils sur la période considérée.
Le document précisait également que la consommation d'essence avait décliné de 2.2% pour decendre à 8.94 millions de barils quotidiens dans le même temps.
Commerzbank a commenté mercredi soir dans son rapport: "Les besoins pétroliers des Etats-Unis se sont nettement apaisés, la hausse des prix ayant clairement agi."
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont quand à elles gagné 0.66% pour grimper à 121.58 USD du baril dans le même temps, soit 12.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 108.99 USD le baril en première partie de séance européenne, grignotant 0.05%.
Ils avaient auparavant navigué entre 109.36 USD, leur cours le plus élevé du jour et 108.44 USD comme minimum journalier.
Les chiffres de l'emploi du domaine privé des Etats-Unis révélés mercredi montrant une croissance décevante et un ralentissement de l'activité du secteur tertiaire ont renforcé l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale ne devrait pas faire progresser ses taux dans les mois à venir.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a glissé de son côté de 0.4% pour se stabiliser à 73.03 après avoir touché le fond à 72.98.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix ont toutefois été limités par l'inquiétude d'un éventuel essoufflement de la demande des Etats-Unis, premiers consommateurs au monde.
Les chiffres officiels avaient fait savoir hier que les réserves américaines de pétrole brut avaient atteint au cours de la semaine achevée le 29 avril leur plus haut niveau depuis octobre, engrangeant 3.4 millions de barils alors que les experts s'étaient attendus à ne les voir prendre que 1.9 millions de barils sur la période considérée.
Le document précisait également que la consommation d'essence avait décliné de 2.2% pour decendre à 8.94 millions de barils quotidiens dans le même temps.
Commerzbank a commenté mercredi soir dans son rapport: "Les besoins pétroliers des Etats-Unis se sont nettement apaisés, la hausse des prix ayant clairement agi."
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juin ont quand à elles gagné 0.66% pour grimper à 121.58 USD du baril dans le même temps, soit 12.59 USD de mieux que leurs homologues américaines.