Investing.com - Les bourses européennes étaient en progrès au cours des échanges chaotiques de ce jeudi après de bonnes performances allemandes, dans l'attente de la probable approbation par l'Irlande du pacte fiscal de l'Union Européenne, bien que l'ombre de la gestion de la crise financière espagnole demeure.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a avancé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.55%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
Des informations de sources officielles avaient souligné ce matin le fait que le nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne n'avait pas évolué en mai, et que le taux de chômage était tombé à 6.7%, son plus bas niveau historique.
Il avait auparavant été signalé que les ventes au détail du pays avaient davantage augmenté en avril que prévu, prenant 0.6% pour prolonger les 1.6% précédents.
La prudence demeurait toutefois de mise dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, après que les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.7% hier, se rapprochant du niveau crucial des 7%.
Il en a été de même avec l'Italie, les émissions par Rome de bons du trésor à 5 et 10 ans rencontrant une demande morose et subissant une nette hausse des taux, laissant redouter que l'inquiétude concernant l'Espagne et les résultats des élections grecques du mois prochain n'exercent des effets néfastes sur l'Italie.
La finance était malgré tout en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.02 et 0.66%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.36 et 0.15%.
Leurs collègues de la périphérie n'étaient pas en reste, les espagnols BBVA et Bancoo Santander récoltant 1.05 et 0.24%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant moins gourmands suivant la tendance avec 0.8 et 0.49%.
Parmi les premiers, Bankia demeurait toutefois en grande difficulté, dégringolant de 4.76% alors que la Commission Européenne empressait le gouvernement madrilène à dévoiler son plan de renflouement à hauteur de 19 milliards d'euros.
Telefonica, plus grosse compagnie téléphonique du pays, a par contre bondi de 2.18% après que son conseiil d'administration ait donné hier son aval à une proposition d'introduction de O2 Germany, et à explorer l'idée de faire coter ses actifs sud-américains.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.76%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis qu'une étude révélait une amélioration de la confiance des consommateurs pour mai.
Lloyds Banking était en tête avec 1.64%, HSBC Holdings sur ses talons avec 0.99%, la Royal Bank of Scotland avec 0.6% et Barclays avec 0.38%.
Le fournisseur de services informatiques Logica s'est carrément envolé de 63.77% après que le montréalais CGI ait fait connaître son intention de l'acquérir pour 1.7 milliards de GBP de liquidités.
Le mastodonte minier Rio Tinto a pour sa part pris 0.34%, mais son rival BHP Billiton a laissé échapper 0.13% suite à l'aveu selon lequel sa récente décision de révision de ses principaux plans d'investissement pourrait ralentir la construction promise d'une mine de potasse dans le Saskatchewan, au Canada.
Les cuivriers étaient eux aussi mitigés, Xstrata reculant de 0.06% et Kazakhmys gagnant 0.59%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'Irlande devrait donc se prononcer aujourd'hui par referendum sur le traité de stabilité de l'Union Européenne, tandis que les autorités du bloc euro devraient dévoiler aujourd'hui l'évolution des prix au détail régionaux, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prendre la parole.
Les Etats-Unis rendront de leur côté leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage et un sur l'évolution de la masse salariale non agricole, ainsi que leur évaluation préliminaire du produit intérieur brut.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a avancé de 0.49%, le CAC 40 français de 0.55%, et le DAX 30 allemand de 0.28%.
Des informations de sources officielles avaient souligné ce matin le fait que le nombre des demandeurs d'emploi d'Allemagne n'avait pas évolué en mai, et que le taux de chômage était tombé à 6.7%, son plus bas niveau historique.
Il avait auparavant été signalé que les ventes au détail du pays avaient davantage augmenté en avril que prévu, prenant 0.6% pour prolonger les 1.6% précédents.
La prudence demeurait toutefois de mise dans l'angoisse grandissante d'un recours de l'Espagne à un plan de sauvetage, après que les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.7% hier, se rapprochant du niveau crucial des 7%.
Il en a été de même avec l'Italie, les émissions par Rome de bons du trésor à 5 et 10 ans rencontrant une demande morose et subissant une nette hausse des taux, laissant redouter que l'inquiétude concernant l'Espagne et les résultats des élections grecques du mois prochain n'exercent des effets néfastes sur l'Italie.
La finance était malgré tout en forme, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 1.02 et 0.66%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 0.36 et 0.15%.
Leurs collègues de la périphérie n'étaient pas en reste, les espagnols BBVA et Bancoo Santander récoltant 1.05 et 0.24%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit étant moins gourmands suivant la tendance avec 0.8 et 0.49%.
Parmi les premiers, Bankia demeurait toutefois en grande difficulté, dégringolant de 4.76% alors que la Commission Européenne empressait le gouvernement madrilène à dévoiler son plan de renflouement à hauteur de 19 milliards d'euros.
Telefonica, plus grosse compagnie téléphonique du pays, a par contre bondi de 2.18% après que son conseiil d'administration ait donné hier son aval à une proposition d'introduction de O2 Germany, et à explorer l'idée de faire coter ses actifs sud-américains.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.76%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tandis qu'une étude révélait une amélioration de la confiance des consommateurs pour mai.
Lloyds Banking était en tête avec 1.64%, HSBC Holdings sur ses talons avec 0.99%, la Royal Bank of Scotland avec 0.6% et Barclays avec 0.38%.
Le fournisseur de services informatiques Logica s'est carrément envolé de 63.77% après que le montréalais CGI ait fait connaître son intention de l'acquérir pour 1.7 milliards de GBP de liquidités.
Le mastodonte minier Rio Tinto a pour sa part pris 0.34%, mais son rival BHP Billiton a laissé échapper 0.13% suite à l'aveu selon lequel sa récente décision de révision de ses principaux plans d'investissement pourrait ralentir la construction promise d'une mine de potasse dans le Saskatchewan, au Canada.
Les cuivriers étaient eux aussi mitigés, Xstrata reculant de 0.06% et Kazakhmys gagnant 0.59%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.27%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.27% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.22%.
L'Irlande devrait donc se prononcer aujourd'hui par referendum sur le traité de stabilité de l'Union Européenne, tandis que les autorités du bloc euro devraient dévoiler aujourd'hui l'évolution des prix au détail régionaux, tandis que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait prendre la parole.
Les Etats-Unis rendront de leur côté leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage et un sur l'évolution de la masse salariale non agricole, ainsi que leur évaluation préliminaire du produit intérieur brut.