Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les investisseurs attendant une confirmation de la part de Jean-Claude Trichet, président de la Banque Centrale Européenne, des attentes de hausse des taux de la Banque Centrale Européenne dans l'après-midi.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour grimper à 1.483.
La BCE avait auparavant annoncé le maintien comme prévu de son taux d'enchère minimal à 1.25%, après l'avoir remonté d'un quart de point de pourcentage le mois dernier.
Il a également cédé un peu de terrain à la livre sterling, le GBP/USD sapant 0.07% pour se hisser à 1.6499.
La Banque d'Angleterre avait précédemment déclaré garder son taux officiel appliqué aux liquidités à 0.5%, une décision peu surprenante au vu des inquiétudes pesant sur la force de la reprise économique de la Grande-Bretagne.
Il a aussi subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 1.1% pour se retrouver à 79.72 et l'USD/CHF glissant de 0.41% pour tomber à 0.8581.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD bondissant de 0.7% pour aller vers 0.966, l'AUD/USD perdant 0.76% pour descendre à 1.0664 et le NZD/USD cédant 0.48% pour culminer à 0.7858.
Des résultats officiels avaient mis aujourd'hui en évidence pour mars une chute inattendue des ventes au détail de l'Australie, confirmant l'idée selon laquelle la banque centrale du pays attendrait encore avant de revoir ses taux à la hausse.
Un autre rapport faisait pour sa part état d'une diminution inattendue du taux de chômage de la Nouvelle-Zélande au premier trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître aujourd'hui le nombre officiel de leurs nouveaux inscrits au chômage et Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale nationale, prononcer un discours.
En seconde partie de séance européenne, il a légèrement devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.04% pour grimper à 1.483.
La BCE avait auparavant annoncé le maintien comme prévu de son taux d'enchère minimal à 1.25%, après l'avoir remonté d'un quart de point de pourcentage le mois dernier.
Il a également cédé un peu de terrain à la livre sterling, le GBP/USD sapant 0.07% pour se hisser à 1.6499.
La Banque d'Angleterre avait précédemment déclaré garder son taux officiel appliqué aux liquidités à 0.5%, une décision peu surprenante au vu des inquiétudes pesant sur la force de la reprise économique de la Grande-Bretagne.
Il a aussi subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY s'effondrant de 1.1% pour se retrouver à 79.72 et l'USD/CHF glissant de 0.41% pour tomber à 0.8581.
La monnaie des Etats-Unis a toutefois dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD bondissant de 0.7% pour aller vers 0.966, l'AUD/USD perdant 0.76% pour descendre à 1.0664 et le NZD/USD cédant 0.48% pour culminer à 0.7858.
Des résultats officiels avaient mis aujourd'hui en évidence pour mars une chute inattendue des ventes au détail de l'Australie, confirmant l'idée selon laquelle la banque centrale du pays attendrait encore avant de revoir ses taux à la hausse.
Un autre rapport faisait pour sa part état d'une diminution inattendue du taux de chômage de la Nouvelle-Zélande au premier trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.15%.
Les Etats-Unis devraient faire connaître aujourd'hui le nombre officiel de leurs nouveaux inscrits au chômage et Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale nationale, prononcer un discours.