Investing.com - La livre sterling s'est extirpée d'une ornière des quatre derniers mois face au dollar U.S. ce jeudi, mais demeurait susceptible de subir davantage de pertes en raison des inquiétudes causées par la hausse des coûts des emprunts de l'Espagne ainsi que par l'état déplorable de son secteur bancaire.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5463, son cours le plus bas depuis le 19 janvier, jusqu'à 1.5526 en première partie de séance européenne, prenant 0.3%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5414, son plancher du 19 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5577, son plafond du 20 janvier.
Les opérateurs demeuraient sur la défensive, au vu de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pourraient forcer un recours à un programme de secours international.
Les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.67% ce matin, se rapprochant du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le flou concernant les résultats du scrutin grec du 17 juin s'est aussi intensifiés après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course.
Le referendum irlandais d'aujourd'hui sur le traité d'union fiscale européen était lui aussi très attendu.
La livre sterling a toutefois cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.21% pour se hisser à 0.8006.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1.5463, son cours le plus bas depuis le 19 janvier, jusqu'à 1.5526 en première partie de séance européenne, prenant 0.3%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 1.5414, son plancher du 19 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5577, son plafond du 20 janvier.
Les opérateurs demeuraient sur la défensive, au vu de la situation de l'Espagne, où l'augmentation des taux des bons du trésor, ainsi que des capitaux dévolus aux sauvetages de banques, pourraient forcer un recours à un programme de secours international.
Les dividendes décennaux de Madrid se sont hissés à 6.67% ce matin, se rapprochant du niveau crucial des 7% ayant précédé l'adoption des bouées de sauvetage de la Grèce, de l'Irlande et du Portugal.
Le flou concernant les résultats du scrutin grec du 17 juin s'est aussi intensifiés après qu'un sondage ait placé de peu le parti Syriza, opposé au programme de rigueur, en tête de la course.
Le referendum irlandais d'aujourd'hui sur le traité d'union fiscale européen était lui aussi très attendu.
La livre sterling a toutefois cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP gagnant 0.21% pour se hisser à 0.8006.
Les Etats-Unis comptent quand à eux divulguer dans l'après-midi l'évaluation préliminaire de leur croissance économique du premier trimestre, sans oublier des rapports sur l'état du marché de l'emploi privé et le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage ainsi qu'une étude sur l'activité des entreprises dans la région de Chicago.