Investing.com - Le dollar U.S. a concédé l'avantage face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, après qu'il ait été révélé que les entreprises américaines avait moins créé d'emploi en mars qu'espéré.
En seconde partie de séance européenne, il s'est retrouvé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD arrachantt 0,15% pour s'élever à 1,2836.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet annocné avoir enregistré 158.000 emplois supplémentaires après ajustement saisonnier le mois passé, beaucoup moins que les 200.000 prédits, suite aux 237.00 après révision à la hausse du mois précédent.
Bien qu'il ne constitue pas un avant-goût fiable des chiffres officiels qui seront divulgués vendredi, ce décompte représente un état des lieux de l'emploi privé.
La monnaie unique demeurait cependant fragilisée, en raison des angoisses au sujet de l'expansion économique au premier trimestre là où elle a cours, à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Celle-ci ne devrait probablement annoncer aucun bouleversement après sa réunion, mais la conférence de presse qui sera ensuite tenue par son président Mario Draghi sera décortiquée de près.
Le yen s'est contenté de limiter les dégâts, l'USD/JPY grignotant 0,04% pour se hisser à 93,45.
Les rumeurs d'assouplisements musclés de la part de la Banque du Japon à l'issue de son conseil de demain sous la houlette de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda filaient toujours bon train.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,23% pour grimper à 1,514.
La devise de la Grande-Bretagne avait pourtant subi un passage à vide journalier après qu'il ait été montré que le domaine de la construction là où elle a cours restait en difficulté pour le cinquième mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du domaine du bâtiment établie par le groupe de recherches économiques Markit n'a en effet frémi que de 46,8 vers 47,2 pour le mois passé, demeurant nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une amélioration de la situation du secteur, et décevant au regard des 47,5 espérés.
Il a d'autre part subi la pression modérée du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0,18% pour tomber à 0,9473, son ornière journalière.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0137, l'AUD/USD raflant 0,36% pour monter à 1,0487 et le NZD/USD engrangeant 0,247% pour culminer à 0,8438.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que le déficit du commerce extérieur avait fondu depuis 1,2 milliards d'AUD pour janvier vers 178 millions pour le second mois de l'année, au lieu du milliard envisagé.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a pour sa part culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendant officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,16% pour se situer à 82,98.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le rapport sur l'activité tertiaire nationale effectué par l'institut de gestion des approvisionnements.
En seconde partie de séance européenne, il s'est retrouvé à fléchir devant l'euro, l'EUR/USD arrachantt 0,15% pour s'élever à 1,2836.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP a en effet annocné avoir enregistré 158.000 emplois supplémentaires après ajustement saisonnier le mois passé, beaucoup moins que les 200.000 prédits, suite aux 237.00 après révision à la hausse du mois précédent.
Bien qu'il ne constitue pas un avant-goût fiable des chiffres officiels qui seront divulgués vendredi, ce décompte représente un état des lieux de l'emploi privé.
La monnaie unique demeurait cependant fragilisée, en raison des angoisses au sujet de l'expansion économique au premier trimestre là où elle a cours, à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Celle-ci ne devrait probablement annoncer aucun bouleversement après sa réunion, mais la conférence de presse qui sera ensuite tenue par son président Mario Draghi sera décortiquée de près.
Le yen s'est contenté de limiter les dégâts, l'USD/JPY grignotant 0,04% pour se hisser à 93,45.
Les rumeurs d'assouplisements musclés de la part de la Banque du Japon à l'issue de son conseil de demain sous la houlette de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda filaient toujours bon train.
Le billet vert a par contre cédé quelques centimètres de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,23% pour grimper à 1,514.
La devise de la Grande-Bretagne avait pourtant subi un passage à vide journalier après qu'il ait été montré que le domaine de la construction là où elle a cours restait en difficulté pour le cinquième mois d'affilée.
L'indice des directeurs des achats du domaine du bâtiment établie par le groupe de recherches économiques Markit n'a en effet frémi que de 46,8 vers 47,2 pour le mois passé, demeurant nettement au-dessous du niveau des 50 dénotant une amélioration de la situation du secteur, et décevant au regard des 47,5 espérés.
Il a d'autre part subi la pression modérée du franc suisse, l'USD/CHF laissant échapper 0,18% pour tomber à 0,9473, son ornière journalière.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0,09% pour aller vers 1,0137, l'AUD/USD raflant 0,36% pour monter à 1,0487 et le NZD/USD engrangeant 0,247% pour culminer à 0,8438.
Les autorités d'Australie avaient fait savoir à l'aube que le déficit du commerce extérieur avait fondu depuis 1,2 milliards d'AUD pour janvier vers 178 millions pour le second mois de l'année, au lieu du milliard envisagé.
L'indice des directeurs des achats des prestataires de services de la Chine établi par HSBC a pour sa part culminé à 54,3 pour mars, sa plus haute valeur en six mois, et son pendant officiel passait de 54,5 à 55,6 dans le même temps.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,16% pour se situer à 82,98.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le rapport sur l'activité tertiaire nationale effectué par l'institut de gestion des approvisionnements.