Investing.com - L'euro a commis un faux pas contre le dollar U.S. ce mercredi, retombant de son pic des trois dernières semaines après que des mises aux enchères décevantes d'obligations espagnoles et italiennes aient maintenu l'attention sur les problèmes de dette de la zone euro, tandis que les négociations concernant celle des Etats-Unis restaient au point mort.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.4535, son cours le plus élevé depuis le 5 juillet, jusqu'à 1.4485 en fin de séance asiatique, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4356, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.4577, son plafond des trois dernières semaines.
L'Espagne et l'Italie se sont en effet retrouvées à devoir payer des dividendes sur leurs dettes à court terme supérieurs à ceux obtenus il y a un mois, laissant à craindre que le plan de sauvetage puor la Grèce de la semaine passée n'avait pas apaisé toutes les craintes relatives à la crise de la dette de la région.
Barack Obama, président des Etats-Unis, et les chefs des groupes parlementaires restaient quand à eux divisés concernant la remontée de la limite d'endettement du pays, destinée à éviter un éventuel défaut de paiement ou une dégradation de la notation monétaire nationale avant la date butoir du 2 août.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.15% pour tomber à 0.8831.
L'Allemagne devrait aujourd'hui faire connaître sa hausse des prix à la consommation, et les Etats-Unis le volume officiel des commandes de biens durables, tanis que la Réserve Fédérale publiera son livre beige.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.4535, son cours le plus élevé depuis le 5 juillet, jusqu'à 1.4485 en fin de séance asiatique, perdant 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.4356, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.4577, son plafond des trois dernières semaines.
L'Espagne et l'Italie se sont en effet retrouvées à devoir payer des dividendes sur leurs dettes à court terme supérieurs à ceux obtenus il y a un mois, laissant à craindre que le plan de sauvetage puor la Grèce de la semaine passée n'avait pas apaisé toutes les craintes relatives à la crise de la dette de la région.
Barack Obama, président des Etats-Unis, et les chefs des groupes parlementaires restaient quand à eux divisés concernant la remontée de la limite d'endettement du pays, destinée à éviter un éventuel défaut de paiement ou une dégradation de la notation monétaire nationale avant la date butoir du 2 août.
La monnaie unique a également perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.15% pour tomber à 0.8831.
L'Allemagne devrait aujourd'hui faire connaître sa hausse des prix à la consommation, et les Etats-Unis le volume officiel des commandes de biens durables, tanis que la Réserve Fédérale publiera son livre beige.