Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi matin, tiré vers le bas par son passage à vide contre son homologue japonais.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,73% pour se retrouver à 101,57.
La devise nippone a retrouvé des couleurs après avoir fondu de 1,4% la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière nippones dans une ambiance d'une grande volatilité.
Son adversaire américain gardait la forme grâce aux rumeurs selon lesquelles son émettrice serait sur le point de réduire le volume de ses 85 millions d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,27% pour grimper à 1,2889.
Une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5065, s'extirpant d'une ornière de 11 semaines.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,61% pour tomber à 0,9709, établissant un nouveau creux journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,42% pour descendre à 0,9712, le NZD/USD trébuchant de 0,07% pour toucher le fond à 0,8071 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0397.
La première avait dégringolé à l'aube à son pire niveau en un an et demi, après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prévisions de croissance de l'année pour la Chine.
Des informations émanant des autorités de l'Australie signalaient quand à elles que l'activité du secteur du bâtiment local avait diminué de 2% au premier trimestre, alors qu'une augmentation de 1% était pressentie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,30% pour se situer à 84,08.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,73% pour se retrouver à 101,57.
La devise nippone a retrouvé des couleurs après avoir fondu de 1,4% la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière nippones dans une ambiance d'une grande volatilité.
Son adversaire américain gardait la forme grâce aux rumeurs selon lesquelles son émettrice serait sur le point de réduire le volume de ses 85 millions d'USD mensuels d'acquisitions d'actifs.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,27% pour grimper à 1,2889.
Une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,18% pour se hisser à 1,5065, s'extirpant d'une ornière de 11 semaines.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,61% pour tomber à 0,9709, établissant un nouveau creux journalier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD sombrant de 0,42% pour descendre à 0,9712, le NZD/USD trébuchant de 0,07% pour toucher le fond à 0,8071 et l'USD/CAD progressant de 0,01% pour aller vers 1,0397.
La première avait dégringolé à l'aube à son pire niveau en un an et demi, après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prévisions de croissance de l'année pour la Chine.
Des informations émanant des autorités de l'Australie signalaient quand à elles que l'activité du secteur du bâtiment local avait diminué de 2% au premier trimestre, alors qu'une augmentation de 1% était pressentie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,30% pour se situer à 84,08.
L'Allemagne devait pour sa part fournir aujourd'hui la première évaluation de son évolution des prix à la consommation, ainsi que les variations enregistrées sur son marché de l'emploi.