Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi, mais toute velléité de flambée demeurait jugulée par la prudence à la veille des conclusions du conseil directeur de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, pour s'éloigner de son pic de 23 mois, l'EUR/USD perdant 0,21% pour tomber à 1,3756.
Il profitait de l'hypothèse selon laquelle les opérateurs auraient déjà tenu compte du fait que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, et devrait au contraire les maintenir jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien entamée.
Il avait été révélé hier que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0,6% au cours du mois dernier, dépassant ainsi les 0,4% envisagés.
Il était cependant à noter que leurs ventes de logements avaient plongé de 5,6% le mois passé, pour leur quatrième déconvenue d'affilée.
Ces résultats peu réjouissants n'ont guère fait évoluer les chances d'un tour de vis de leur banque centrale avant le premier trimestre 2014, afin de protéger l'économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Les statistiques américaines du jour, portant notamment sur les ventes au détail et la confiance des consommateurs seront aussi au centre des débats.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,25% pour se reprendre à 97,92.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,41% pour chuter à 1,6075.
Il avait auparavant été noté que les prêts immobiliers accordés là où celle-ci a cours avaient atteint le mois passé leur plus haut niveau depuis février 2008, confortant l'hypothèse de la relance du marché du logement.
Le franc suisse a aussi vu ternir son blason de valeur sûre, l'USD/CHF grignotant 0,28% pour culminer à 0,8982 et s'éloigner du gouffre de 20 mois établi la semaine passée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,87% pour se retrouver à 0,9490 et le NZD/USD se faisant arracher 0,65% pour toucher le fond à 0,8247.
La première avait perdu pied à l'aube, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait affirmé qu'elle avait de fortes chances de chuter au cas où les taux de change ne seraient pas soutenus par les coûts de production relatifs et la productivité.
Leur homologue canadienne a cependant pris modestement l'avantage, l'USD/CAD se rétractant de 0,13% pour descendre à 1,0430.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,56.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a encore fléchi devant lui, pour s'éloigner de son pic de 23 mois, l'EUR/USD perdant 0,21% pour tomber à 1,3756.
Il profitait de l'hypothèse selon laquelle les opérateurs auraient déjà tenu compte du fait que la Réserve Fédérale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, et devrait au contraire les maintenir jusqu'à ce que l'année prochaine soit bien entamée.
Il avait été révélé hier que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0,6% au cours du mois dernier, dépassant ainsi les 0,4% envisagés.
Il était cependant à noter que leurs ventes de logements avaient plongé de 5,6% le mois passé, pour leur quatrième déconvenue d'affilée.
Ces résultats peu réjouissants n'ont guère fait évoluer les chances d'un tour de vis de leur banque centrale avant le premier trimestre 2014, afin de protéger l'économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Les statistiques américaines du jour, portant notamment sur les ventes au détail et la confiance des consommateurs seront aussi au centre des débats.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY dérapant de 0,25% pour se reprendre à 97,92.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,41% pour chuter à 1,6075.
Il avait auparavant été noté que les prêts immobiliers accordés là où celle-ci a cours avaient atteint le mois passé leur plus haut niveau depuis février 2008, confortant l'hypothèse de la relance du marché du logement.
Le franc suisse a aussi vu ternir son blason de valeur sûre, l'USD/CHF grignotant 0,28% pour culminer à 0,8982 et s'éloigner du gouffre de 20 mois établi la semaine passée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,87% pour se retrouver à 0,9490 et le NZD/USD se faisant arracher 0,65% pour toucher le fond à 0,8247.
La première avait perdu pied à l'aube, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait affirmé qu'elle avait de fortes chances de chuter au cas où les taux de change ne seraient pas soutenus par les coûts de production relatifs et la productivité.
Leur homologue canadienne a cependant pris modestement l'avantage, l'USD/CAD se rétractant de 0,13% pour descendre à 1,0430.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,56.