Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi matin, dans l'expectative des performances américaines, sur fond de flou entourant les orientations futures de son émettrice.
En première partie de séance européenne, il a à peine a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,09% pour monter à 1,3050.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
En France, les dépenses des consommateurs ont quand à elles augmenté de 0,5% en mai, au lieu de subir l'érosion de 0,1% redoutée après le faux pas de 0,5% du mois précédent.
Mais la monnaie unique demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé avant-hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5238.
L'indice de la confiance des particuliers du Royaume-Uni établi par le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant comme prévu frémi depuis -22 jusqu'à -21 pour juin.
Une étude différente mettait pour sa part en relief une inflation des coûts des logements britanniques se montant à 0,3% dans le même temps après les 0,4% de mai.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,58% pour se hisser à 98,92 et l'USD/CHF grignotant 0,14% pour culminer à 0,9463.
Le bureau d'études Markit avait révélé à l'aubeque son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du Japon était passé de 51,5 vers 52,3 pour le mois en cours, mettant ainsi en relief la plus forte progression en près de deux ans.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle nationale y avait aussi bondi de 2% en mai, pulvérisant les 0,2% espérés après les 0,9% précédents.
Les départs de chantiers du pays se sont par ailleurs envolés de 14,5% dans le même temps, soit nettement plus que les 6,2% envisagés, après les 5,8% avril.
L'indice des signaux économiques prévisionnels helvètes de l'agence de recherches économiques KOF n'a cependant effectué qu'un sursaut l'amenant de 1,09 à 1,16 au lieu des 1,19 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,29% pour se retrouver à 0,9248, le NZD/USD arrachant 0,15% pour culminer à 0,7807 et l'USD/CAD prenant 0,02% pour consolider à 1,0478.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient annoncé en début de matinée que le nombre des permis de construire qu'elles avaient délivrés avait avancé de 1,3% le mois passé au lieu de reculer de 3,9% comme prédit, dans le sillage de l'explosion de 21% enregistrée en avril.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,08% pour se situer à 83,24.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.
En première partie de séance européenne, il a à peine a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD frémissant de 0,09% pour monter à 1,3050.
Une étude officielle avait en effet signalé que les ventes au détail de l'Allemagne avaient gonflé de 0,8% en mai, une bonne surprise au vu des 0,2% anticipés après la déconvenue des 0,1% du mois précédent.
En France, les dépenses des consommateurs ont quand à elles augmenté de 0,5% en mai, au lieu de subir l'érosion de 0,1% redoutée après le faux pas de 0,5% du mois précédent.
Mais la monnaie unique demeurait fragilisée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait rappelé avant-hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,13% pour chuter à 1,5238.
L'indice de la confiance des particuliers du Royaume-Uni établi par le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant comme prévu frémi depuis -22 jusqu'à -21 pour juin.
Une étude différente mettait pour sa part en relief une inflation des coûts des logements britanniques se montant à 0,3% dans le même temps après les 0,4% de mai.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,58% pour se hisser à 98,92 et l'USD/CHF grignotant 0,14% pour culminer à 0,9463.
Le bureau d'études Markit avait révélé à l'aubeque son indice des directeurs des achats du secteur manufacturier du Japon était passé de 51,5 vers 52,3 pour le mois en cours, mettant ainsi en relief la plus forte progression en près de deux ans.
Il était d'autre part à noter que la production industrielle nationale y avait aussi bondi de 2% en mai, pulvérisant les 0,2% espérés après les 0,9% précédents.
Les départs de chantiers du pays se sont par ailleurs envolés de 14,5% dans le même temps, soit nettement plus que les 6,2% envisagés, après les 5,8% avril.
L'indice des signaux économiques prévisionnels helvètes de l'agence de recherches économiques KOF n'a cependant effectué qu'un sursaut l'amenant de 1,09 à 1,16 au lieu des 1,19 pressentis.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et canadienne, mais pas la néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,29% pour se retrouver à 0,9248, le NZD/USD arrachant 0,15% pour culminer à 0,7807 et l'USD/CAD prenant 0,02% pour consolider à 1,0478.
Les autorités de Nouvelle-Zélande avaient annoncé en début de matinée que le nombre des permis de construire qu'elles avaient délivrés avait avancé de 1,3% le mois passé au lieu de reculer de 3,9% comme prédit, dans le sillage de l'explosion de 21% enregistrée en avril.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,08% pour se situer à 83,24.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec une étude sur l'activité manufacturière de la région de Chicago et l'indice révisé du moral des ménages établi par l'université du Michigan.