Investing.com - Le dollar U.S. était plutôt en forme face à la plupart de ses concurrents, et notamment l'euro, ce mercredi, alors que la publication de résultats peu glorieux de la part du bloc ayant adopté ce dernier ravivait le spectre des conséquences de son problème de surendettement persistant.
En première partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.39% pour tomber à 1.2934.
Celle-ci a en effet perdu pied après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait reculé depuis une valeur définitive de 46.1 pour arriver à 45.3 en octobre, alors qu'un frémissement à 46.6 était espéré.
Il était aussi à noter que celui du domaine des services avait grignoté pour se hisser de 46.1 à 46.2 sur une période identique.
Celui des industries de l'Allemagne a quand à lui régressé de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme envisagé.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a pour sa part révélé que son baromètre des affaires nationales était tombé dans le même temps de 101.4 à 100, son niveau le plus bas depuis mars 2010.
Le billet vert par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.5979.
Cette dernière avait retrouvé du mordant après que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que ses collègues et lui devraient réfléchir "longuement et intensément" avant de décider de mettre ou non en place davantage d'accomodements.
Le yen a d'autre part exercé sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0.07% pour se retrouver à 79.78, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.3% pour culminer à 0.9352.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 0.991, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0309 et le NZD/USD s'élevant de 0.16% pour culminer à 0.813.
Ces deux dernières avaient repris des couleurs après qu'un rapport ait mis en évidence le fait que l'indice HSBC des directeurs des achats manufacturiers de la Chine, premier signe de son activité industrielle, était remonté de 47.9 ajustés vers 49.1 pour octobre.
Des chiffres officiels venus d'Australie soulignaient aussi que les prix à la consommation du pays avaient gonflé de 0.7% au troisième trimestre, dépassant de peu les 0.6% escomptés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.19% pour se situer à 80.1.
La Réserve Fédérale comptait de son côté faire connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoiler son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis concluront avec les chiffres des ventes de logements neufs.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, doit de son côté participer à une rencontre avec les dirigeants de la Bundesbank allemande, laquelle sera suivie d'une conférence de presse.
En première partie de séance européenne, la monnaie unique a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.39% pour tomber à 1.2934.
Celle-ci a en effet perdu pied après qu'il ait été signalé que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la zone euro avait reculé depuis une valeur définitive de 46.1 pour arriver à 45.3 en octobre, alors qu'un frémissement à 46.6 était espéré.
Il était aussi à noter que celui du domaine des services avait grignoté pour se hisser de 46.1 à 46.2 sur une période identique.
Celui des industries de l'Allemagne a quand à lui régressé de 47.4 jusqu'à 45.7 pour octobre, au lieu de remonter à 48 comme envisagé.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique a pour sa part révélé que son baromètre des affaires nationales était tombé dans le même temps de 101.4 à 100, son niveau le plus bas depuis mars 2010.
Le billet vert par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.18% pour se hisser à 1.5979.
Cette dernière avait retrouvé du mordant après que Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, ait déclaré que ses collègues et lui devraient réfléchir "longuement et intensément" avant de décider de mettre ou non en place davantage d'accomodements.
Le yen a d'autre part exercé sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0.07% pour se retrouver à 79.78, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.3% pour culminer à 0.9352.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 0.991, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0309 et le NZD/USD s'élevant de 0.16% pour culminer à 0.813.
Ces deux dernières avaient repris des couleurs après qu'un rapport ait mis en évidence le fait que l'indice HSBC des directeurs des achats manufacturiers de la Chine, premier signe de son activité industrielle, était remonté de 47.9 ajustés vers 49.1 pour octobre.
Des chiffres officiels venus d'Australie soulignaient aussi que les prix à la consommation du pays avaient gonflé de 0.7% au troisième trimestre, dépassant de peu les 0.6% escomptés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.19% pour se situer à 80.1.
La Réserve Fédérale comptait de son côté faire connaître en fin de journée son taux d'intérêt directeur et dévoiler son texte explicatif sur la question pour la première fois depuis l'annonce le mois dernier de nouvelles injections de liquidités, tandis que les Etats-Unis concluront avec les chiffres des ventes de logements neufs.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, doit de son côté participer à une rencontre avec les dirigeants de la Bundesbank allemande, laquelle sera suivie d'une conférence de presse.