Investing.com - Le dollar U.S. s'est encore enfoncé face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, tiré vers le bas par son passage à vide contre son homologue japonais.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,02% pour se retrouver à 101,29.
La devise nippone a retrouvé des couleurs, compensant presque complètement son faux pas de 1,4% de la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière japonaises redorant son blason en tant que valeur refuge.
L'atmosphère s'est également assombrie après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prévisions de croissance de l'année pour la Chine.
Cette tendance s'est amplifiée après que l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques allait dans une direction identique pour l'économie mondiale, passant des 3,4% espérés il y a six mois à 3,1%.
Elle a aussi exhorté la Banque Centrale Européenne à prendre des mesures de politique monétaire plus agressives, et notamment des injections de liquidités, afin de donner un coup de fouet à la croissance dont elle a la charge.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,64% pour grimper à 1,2936, établissant un nouveau pic journalier.
En Allemagne, une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription ce mois-ci de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.
Une autre annonçait quand à elle que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 1,5% par rapport au même mois de l'année dernière, au lieu des 1,3% envisagés.
Le billet vert a à nouveau cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD se regonflant de 0,46% pour se hisser à 1,5107.
L'association des acteurs de la grande distribution britannique avait déploré en fin de matinée que son indice des ventes au détail avait dégringolé en mai à sa valeur la plus basse en treize mois.
Il a d'autre part subi la forte pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,15% pour tomber à 0,9656.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs retrouvée dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour monter à 0,9622, le NZD/USD s'élevant de 0,57% pour culminer à 0,8121 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0383.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0,67% pour se situer à 83,76.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 1,02% pour se retrouver à 101,29.
La devise nippone a retrouvé des couleurs, compensant presque complètement son faux pas de 1,4% de la veille, sur fond d'effondrement des valeurs boursière japonaises redorant son blason en tant que valeur refuge.
L'atmosphère s'est également assombrie après que le Fonds Monétaire International ait rabaissé ses prévisions de croissance de l'année pour la Chine.
Cette tendance s'est amplifiée après que l'Organisation de Coopération et de Développement Economiques allait dans une direction identique pour l'économie mondiale, passant des 3,4% espérés il y a six mois à 3,1%.
Elle a aussi exhorté la Banque Centrale Européenne à prendre des mesures de politique monétaire plus agressives, et notamment des injections de liquidités, afin de donner un coup de fouet à la croissance dont elle a la charge.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,64% pour grimper à 1,2936, établissant un nouveau pic journalier.
En Allemagne, une étude officielle avait auparavant souligné l'inscription ce mois-ci de 21.000 demandeurs d'emploi supplémentaires, soit nettement plus que les 5.000 anticipés, le taux de chômage demeurant cependant stable à 6,9% comme prévu.
Une autre annonçait quand à elle que les prix à la consommation nationaux avaient augmenté de 1,5% par rapport au même mois de l'année dernière, au lieu des 1,3% envisagés.
Le billet vert a à nouveau cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD se regonflant de 0,46% pour se hisser à 1,5107.
L'association des acteurs de la grande distribution britannique avait déploré en fin de matinée que son indice des ventes au détail avait dégringolé en mai à sa valeur la plus basse en treize mois.
Il a d'autre part subi la forte pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 1,15% pour tomber à 0,9656.
La monnaie des Etats-Unis s'est par ailleurs retrouvée dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour monter à 0,9622, le NZD/USD s'élevant de 0,57% pour culminer à 0,8121 et l'USD/CAD régressant de 0,13% pour aller vers 1,0383.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait de 0,67% pour se situer à 83,76.