Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, la prudence restant toutefois de mise, tandis que les yeux se tournaient vers les chiffres de l'emploi américain de la fin de journée, alors que son adversaire européen profitait de bons résultats régionaux.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.68% pour grimper à 1.367.
La monnaie unique a prolongé son ascension contre son homologue des Etats-Unis après que des informations émanant des autorités aient souligné que le taux de chômage de la zone où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts anticipaient une stabilisation.
Le groupe de recherches économiques Markit a d'autre part fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
Celui de l'Italie est passé de 46.7 à 47.8 dans le même temps, dépassant ainsi les 47.6 prédits.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.3% pour se glisser à 1.5809.
La devise de la Grande-Bretagne s'est retrouvée sur la sellette après que l'institut d'études économiques Markit ait révélé que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
Il a par contre exercé sa pression sur le yen, l'USD/JPY empochant 0.54% pour se retrouver à 92.21, mais pas sur le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.57% pour tomber à 0.905.
Une étude officielle avait d'autre part signalé à l'aube que les dépenses des ménages du pays avait reculé de 0.7% en décembre, au lieu des 0.2% déjà redoutés après un frémissement de 0.2%.
Il était aussi à noter que la proportion des demandeurs d'emploi de l'archipel s'était hissée de 4.1 jusqu'à 4.2% dans le même temps, alors qu'une stagnation était attendue.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.25% pour aller vers 0.9998, l'AUD/USD plongeant de 0.49% pour reprendre pied à 1.0375 et le NZD/USD engrangeant 0.19% pour culminer à 0.8406.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29% pour se situer à 79.01.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.68% pour grimper à 1.367.
La monnaie unique a prolongé son ascension contre son homologue des Etats-Unis après que des informations émanant des autorités aient souligné que le taux de chômage de la zone où elle a cours s'était stabilisé à 11.7% pour décembre, alors qu'une montée à 11.9% était anticipée.
Il était aussi à noter que l'inflation des prix à la consommation de la région avait reculé depuis 2.2 vers 2% annualisés pour janvier, tandis que les experts anticipaient une stabilisation.
Le groupe de recherches économiques Markit a d'autre part fait savoir que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de l'Espagne était remonté depuis 44.6 jusqu'à 46.1 pour janvier, au lieu des 45.5 espérés.
Celui de l'Italie est passé de 46.7 à 47.8 dans le même temps, dépassant ainsi les 47.6 prédits.
L'étude ajoutait que celui de la zone euro avait frémi de 47.5 vers 47.9, alors qu'une stagnation était redoutée sur la période considérée.
Le billet vert a par contre repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.3% pour se glisser à 1.5809.
La devise de la Grande-Bretagne s'est retrouvée sur la sellette après que l'institut d'études économiques Markit ait révélé que son baromètre de l'activité des usines britanniques avait subi une érosion de 51.2 vers 50.8 pour le premier mois de l'année, alors qu'un déclin à 51 était déjà craint.
Il a par contre exercé sa pression sur le yen, l'USD/JPY empochant 0.54% pour se retrouver à 92.21, mais pas sur le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.57% pour tomber à 0.905.
Une étude officielle avait d'autre part signalé à l'aube que les dépenses des ménages du pays avait reculé de 0.7% en décembre, au lieu des 0.2% déjà redoutés après un frémissement de 0.2%.
Il était aussi à noter que la proportion des demandeurs d'emploi de l'archipel s'était hissée de 4.1 jusqu'à 4.2% dans le même temps, alors qu'une stagnation était attendue.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.25% pour aller vers 0.9998, l'AUD/USD plongeant de 0.49% pour reprendre pied à 1.0375 et le NZD/USD engrangeant 0.19% pour culminer à 0.8406.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.29% pour se situer à 79.01.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le rapport gouvernemental crucial sur le nombre des employés hors agriculture et le taux des demandeurs d'emploi, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements rendra son rapport sur l'activité des usines nationales.
L'université du Michigan fera de même avec son étude révisée sur le moral des consommateurs.