Investing.com - Le dollar U.S. restait en berne face à la plupart de ses concurrents ce lundi, bien qu'il conserve l'avantage sur son homologue nippon, malgré les bruits évoquant un serrage de vis imminent de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a un peu moins fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,39% pour se retrouver à 99,52, ayant auparavant atteint son meilleur niveau en trois semaines et demi.
La Banque du Japon avait révélé en début de séance que son baromètre trimestriel de la confiance dans les affaires japonaises reflétait un regain de forme des gros industriels, venant conforter l'hypothèse de la relance nationale.
L'attention se focalisait sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en raison des incertitudes sur le moment où la Réserve Fédérale entamera une réduction de ses rachats d'actifs.
Il n'en allait pas de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,15% pour se hisser à 1,5230, après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la question avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Il suivait un chemin identique avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,28% pour grimper à 1,3046, aux abords d'un pic journalier.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
Le franc suisse a par contre subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,06% pour s'élever à 0,9454.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,51% pour monter à 0,9185, le NZD/USD engrangeant 0,43% pour culminer à 0,7774 et l'USD/CAD régressant de 0,06% pour aller vers 1,0511.
La première avait retrouvé du mordant après qu'une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a toutefois ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,16% pour se situer à 83,29.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a un peu moins fléchi devant lui, l'USD/JPY avançant de 0,39% pour se retrouver à 99,52, ayant auparavant atteint son meilleur niveau en trois semaines et demi.
La Banque du Japon avait révélé en début de séance que son baromètre trimestriel de la confiance dans les affaires japonaises reflétait un regain de forme des gros industriels, venant conforter l'hypothèse de la relance nationale.
L'attention se focalisait sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, en raison des incertitudes sur le moment où la Réserve Fédérale entamera une réduction de ses rachats d'actifs.
Il n'en allait pas de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,15% pour se hisser à 1,5230, après que des informations aient souligné que l'activité du secteur secondaire britannique avait connu en juin sa plus forte progression en deux ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet fait savoir que son indice portant sur la question avait bondi depuis 51,5 après révision à la hausse vers 52,5 pour juin.
Les experts pensaient pourtant qu'il stagnerait à 51,5.
Il suivait un chemin identique avec l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,28% pour grimper à 1,3046, aux abords d'un pic journalier.
Les autorités européennes avaient auparavant fait savoir que le taux de chômage de la région avait frémi depuis 12 vers 12,1% pour mai, au lieu des 12,3% redoutés.
D'autres informations situaient sans surprise son inflation à la consommation à 1,6% pour juin après les 1,4% précédents.
Le franc suisse a par contre subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,06% pour s'élever à 0,9454.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,51% pour monter à 0,9185, le NZD/USD engrangeant 0,43% pour culminer à 0,7774 et l'USD/CAD régressant de 0,06% pour aller vers 1,0511.
La première avait retrouvé du mordant après qu'une étude officielle a ainsi signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a toutefois ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,16% pour se situer à 83,29.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.