Investing.com - Le dollar U.S. restait largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, le spectre d'une aggravation de la crise de la dette de l'Europe renforçant sa cote de popularité, bien que des informations relayées par les médis laissent entrevoir des avancées pour la Grèce.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait encore devant lui, l'EUR/USD perdant 0.2% pour plonger à 1.2684, aux abords d'un plancher des deux mois écoulés.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le journal allemand Bild ait cité des sources gouvernementales germaniques affirmant qu'Athènes devrait recevoir d'une traite 44 milliards d'euros d'aides financière.
Celle-ci a par ailleurs émis pour 4.06 milliards d'euros de bons du trésor à court terme qui devraient l'aider à rembourser ses 5 milliards de dettes dûs vendredi.
La devise européenne avait auparavant laissé des plumes après qu'il ait été souligné que le moral économique de l'Allemagne avait flanché sans crier gare ce mois-ci, aggravant l'angoisse d'une perte de vitesse de la première économie régionale.
Le centre d'études sur l'économie ZEW avait en effet déclaré que son indice de la confiance économiquue de l'Allemagne était tombé de -11.5 à -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
L'étude précisait que "l'évolution récessionnaire" du bloc euro avait des chances de tirer la croissance du pays vers le bas pour les six mois à venir.
Les valeurs sûres comme le billet vert demeuraient aussi encouragées par la menace du mur fiscal américain.
Il a ainsi repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.01% pour descendre à 1.5877.
La devise de la Grande-Bretagne avait redressé la barre après que des chiffres émanant des autorités britanniques aient montré dans la matinée que les prix au détail du Royaume-Uni avaient nettement augmenté en octobre, en raison de la hausse des coûts de la nourriture, des transports et des frais de scolarité universitaires.
Le bureau national des statistiques avait alors révélé que le taux d'inflation annualisé était passé de 2.2 à 2.7% pour octobre, sa plus forte valeur en cinq mois.
Il a par contre à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0.03% pour glisser à 79.47, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.13% pour culminer à 0.9495.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.23% pour monter à 1.0021, l'AUD/USD cédant 0.13% pour se retrouver à 1.0414 et le NZD/USD se faisant arracher 0.15% pour s'établir à 0.8162.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.15% pour se situer à 81.24.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait encore devant lui, l'EUR/USD perdant 0.2% pour plonger à 1.2684, aux abords d'un plancher des deux mois écoulés.
La monnaie unique a cependant retrouvé des couleurs après que le journal allemand Bild ait cité des sources gouvernementales germaniques affirmant qu'Athènes devrait recevoir d'une traite 44 milliards d'euros d'aides financière.
Celle-ci a par ailleurs émis pour 4.06 milliards d'euros de bons du trésor à court terme qui devraient l'aider à rembourser ses 5 milliards de dettes dûs vendredi.
La devise européenne avait auparavant laissé des plumes après qu'il ait été souligné que le moral économique de l'Allemagne avait flanché sans crier gare ce mois-ci, aggravant l'angoisse d'une perte de vitesse de la première économie régionale.
Le centre d'études sur l'économie ZEW avait en effet déclaré que son indice de la confiance économiquue de l'Allemagne était tombé de -11.5 à -15.7 pour novembre, alors qu'une remontée à -9.8 était espérée.
L'étude précisait que "l'évolution récessionnaire" du bloc euro avait des chances de tirer la croissance du pays vers le bas pour les six mois à venir.
Les valeurs sûres comme le billet vert demeuraient aussi encouragées par la menace du mur fiscal américain.
Il a ainsi repris quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD laissant échapper 0.01% pour descendre à 1.5877.
La devise de la Grande-Bretagne avait redressé la barre après que des chiffres émanant des autorités britanniques aient montré dans la matinée que les prix au détail du Royaume-Uni avaient nettement augmenté en octobre, en raison de la hausse des coûts de la nourriture, des transports et des frais de scolarité universitaires.
Le bureau national des statistiques avait alors révélé que le taux d'inflation annualisé était passé de 2.2 à 2.7% pour octobre, sa plus forte valeur en cinq mois.
Il a par contre à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY dérapant de 0.03% pour glisser à 79.47, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.13% pour culminer à 0.9495.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé ses cousines canadienne, australienne, et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.23% pour monter à 1.0021, l'AUD/USD cédant 0.13% pour se retrouver à 1.0414 et le NZD/USD se faisant arracher 0.15% pour s'établir à 0.8162.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.15% pour se situer à 81.24.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le solde officiel de leur budget fédéral.