Investing.com - Le dollar U.S. était encore forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après que la Banque du Japon ait annoncé des accommodements radicaux, dans l'attente des résultats des réunions de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
En fin de première partie de séance européenne, il a conservé l'avantage sur le yen, l'USD/JPY bondissant de 2,68% pour culminer à 95,53.
La Banque du Japon a déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
L'euro a aussi fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,35% pour tomber à 1,2803, aux alentours d'un creux de quatre mois.
Son émettrice n'annoncera vraisemblablement aucun bouleversement après sa prise de cap.
Mais la conférence de presse de son président qui aura ensuite lieu sera décortiquée de près, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,46% pour chuter à 1,5062, lorgnant vers une ornière de deux semaines.
La monnaie à l'effigie de la reine avait retrouvé des couleurs, après qu'il ait été montré que le domaine tertiaire la où elle a cours avait connu en mars son expansion la plus importante en sept mois, alimentant l'espoir de l'évitement d'une récession à triple tranchant.
L'indice des directeurs des acquisitions du secteur des services britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS s'est ainsi élevé de 51,8 vers 52,4, alors que les experts s'attendaient pourtant à un passage à vide à 51,5.
La Banque d'Angleterre avait du coup de fortes chances de ne pas changer d'orientation après son conseil d'aujourd'hui.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0,49% pour prendre pied à 0,9499.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0149, l'AUD/USD cédant 0,50% pour se retrouver à 1,0408 et le NZD/USD se laissant arracher 0,54% pour toucher le fond à 0,8370.
La seconde avait pourtant approché un pic de deux mois à l'aube après qu'une étude officielle ait montré que les ventes au détail de l'Australie avaient augmenté de 1,3% en février, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 1,2% enregistrés en janvier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,54% pour se situer à 83,42, aux alentours d'un pic de huit mois.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.
En fin de première partie de séance européenne, il a conservé l'avantage sur le yen, l'USD/JPY bondissant de 2,68% pour culminer à 95,53.
La Banque du Japon a déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
L'euro a aussi fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,35% pour tomber à 1,2803, aux alentours d'un creux de quatre mois.
Son émettrice n'annoncera vraisemblablement aucun bouleversement après sa prise de cap.
Mais la conférence de presse de son président qui aura ensuite lieu sera décortiquée de près, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,46% pour chuter à 1,5062, lorgnant vers une ornière de deux semaines.
La monnaie à l'effigie de la reine avait retrouvé des couleurs, après qu'il ait été montré que le domaine tertiaire la où elle a cours avait connu en mars son expansion la plus importante en sept mois, alimentant l'espoir de l'évitement d'une récession à triple tranchant.
L'indice des directeurs des acquisitions du secteur des services britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS s'est ainsi élevé de 51,8 vers 52,4, alors que les experts s'attendaient pourtant à un passage à vide à 51,5.
La Banque d'Angleterre avait du coup de fortes chances de ne pas changer d'orientation après son conseil d'aujourd'hui.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0,49% pour prendre pied à 0,9499.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,02% pour monter à 1,0149, l'AUD/USD cédant 0,50% pour se retrouver à 1,0408 et le NZD/USD se laissant arracher 0,54% pour toucher le fond à 0,8370.
La seconde avait pourtant approché un pic de deux mois à l'aube après qu'une étude officielle ait montré que les ventes au détail de l'Australie avaient augmenté de 1,3% en février, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 1,2% enregistrés en janvier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,54% pour se situer à 83,42, aux alentours d'un pic de huit mois.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.