Investing.com - Le dollar U.S. n'était guère en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, laissant son homologue nippon prendre l'avantage après que la chute du nombre des ventes de logements neufs aux Etats-Unis constatée vendredi ait semé le trouble au sujet de l'éventuelle diminution des coups de pouce de son émettrice.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,23% pour se retrouver à 98,50.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,3367.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a par contre résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5575.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9235.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour se retrouver à 0,9030, le NZD/USD empochant 0,38% pour culminer à 0,7838 et l'USD/CAD prenant 0,18% pour monter à 1,0516.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,44.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, les transactions ayant toutes les chances de rester rares, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen, l'USD/JPY se rétractant de 0,23% pour se retrouver à 98,50.
Le billet vert a en effet quitté un piédestal de trois semaines après que le département d'état au commerce américain ait enregistré sans crier gare 13,4% de transactions de moins sur des biens immobiliers fraîchement construits pour le mois passé, leur pire revers en plus de trois ans.
Cette contre-performance a du coup semé le doute sur la reprise dans le domaine du logement national, et sur l'opportunité d'un coup de frein aux 85 milliards d'USD d'assouplissements quantitatifs mensuels de la Réserve Fédérale dès septembre.
Il n'en allait pas de même avec l'euro, l'EUR/USD perdant 0,08% pour tomber à 1,3367.
La monnaie unique gardait des couleurs après qu'un membre du conseil directeur de la Banque Centrale Européenne ait déclaré vendredi ne pas voir beaucoup d'arguments en faveur d'une baisse des taux suite aux bons résultats récemment révélés.
Le billet vert a par contre résisté à la livre sterling, le GBP/USD frémissant de 0,05% pour s'élever à 1,5575.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,20% pour culminer à 0,9235.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'AUD/USD arrachant 0,06% pour se retrouver à 0,9030, le NZD/USD empochant 0,38% pour culminer à 0,7838 et l'USD/CAD prenant 0,18% pour monter à 1,0516.
Il avait été signalé à l'aube que le solde de la balance commerciale de la Nouvelle-Zélande avait plongé sans crier gare depuis un excédent de 374 millions de NZD jusqu'à un déficit de 774 millions de NZD en juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,44.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, les transactions ayant toutes les chances de rester rares, les places londoniennes demeurerant inactives en raison d'un jour férié.