Investing.com - Le dollar U.S. restait encore forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, après que la Banque du Japon ait annoncé des accommodements radicaux, dans l'attente des résultats des réunions de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
En seconde partie de séance européenne, il a conservé l'avantage sur le yen, l'USD/JPY bondissant de 2,62% pour culminer à 95,47.
La devise nippone a dégringolé à l'aube, après que la Banque du Japon ait déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
L'euro a aussi fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,30% pour tomber à 1,2806, aux alentours d'un creux de quatre mois à 1,2784.
Son émettrice n'a pas créé la surprise, maintenant son taux directeur à 0,75%.
Mais elle demeurait fragilisée, en raison des rumeurs d'une annonce au cours de la conférence de presse de Mario Draghi, président de son émettrice, qui suivra, de leur rabaissement prochain, sur fond de perspectives de croissances régionales en détérioration.
Le billet vert a par contre gagné nettement moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,01% pour chuter à 1,5030.
La monnaie à l'effigie de la reine avait retrouvé des couleurs après que la Banque d'Angleterre n'ait pas modifié son taux de base de 0,5%, ni son programme d'acquisitions d'actifs pour un total de 375 milliards de GBP, comme il avait été anticipé.
Il avait auparavant été montré que le domaine tertiaire la où elle a cours avait connu en mars son expansion la plus importante en sept mois, alimentant l'espoir de l'évitement d'une récession à triple tranchant.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0,29% pour prendre pied à 0,9480.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0150, l'AUD/USD cédant 0,31% pour se retrouver à 1,0428 et le NZD/USD se laissant arracher 0,27% pour toucher le fond à 0,8394.
La seconde avait pourtant approché un pic de deux mois à l'aube après qu'une étude officielle ait montré que les ventes au détail de l'Australie avaient augmenté de 1,3% en février, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 1,2% enregistrés en janvier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,39% pour se situer à 83,20, aux alentours d'un pic de huit mois.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.
En seconde partie de séance européenne, il a conservé l'avantage sur le yen, l'USD/JPY bondissant de 2,62% pour culminer à 95,47.
La devise nippone a dégringolé à l'aube, après que la Banque du Japon ait déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
L'euro a aussi fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,30% pour tomber à 1,2806, aux alentours d'un creux de quatre mois à 1,2784.
Son émettrice n'a pas créé la surprise, maintenant son taux directeur à 0,75%.
Mais elle demeurait fragilisée, en raison des rumeurs d'une annonce au cours de la conférence de presse de Mario Draghi, président de son émettrice, qui suivra, de leur rabaissement prochain, sur fond de perspectives de croissances régionales en détérioration.
Le billet vert a par contre gagné nettement moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,01% pour chuter à 1,5030.
La monnaie à l'effigie de la reine avait retrouvé des couleurs après que la Banque d'Angleterre n'ait pas modifié son taux de base de 0,5%, ni son programme d'acquisitions d'actifs pour un total de 375 milliards de GBP, comme il avait été anticipé.
Il avait auparavant été montré que le domaine tertiaire la où elle a cours avait connu en mars son expansion la plus importante en sept mois, alimentant l'espoir de l'évitement d'une récession à triple tranchant.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grimpant de 0,29% pour prendre pied à 0,9480.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0,03% pour monter à 1,0150, l'AUD/USD cédant 0,31% pour se retrouver à 1,0428 et le NZD/USD se laissant arracher 0,27% pour toucher le fond à 0,8394.
La seconde avait pourtant approché un pic de deux mois à l'aube après qu'une étude officielle ait montré que les ventes au détail de l'Australie avaient augmenté de 1,3% en février, pulvérisant les 0,3% espérés suite aux 1,2% enregistrés en janvier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,39% pour se situer à 83,20, aux alentours d'un pic de huit mois.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.