Investing.com - Le dollar U.S. peinait à prendre l'avantage sur la plupart de ses concurrents ce lundi, malgré un sursaut par rapport à son homologue japonais, toujours freiné par les rumeurs de poursuite des rachats d'actifs de son émettrice.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,25% pour se retrouver à 97,64, le renforcement des marchés asiatiques constaté à l'aube ayant diminué son attrait traditionnel en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
Les yeux sont d'autre part rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
L'euro a d'autre part bien résisté, l'EUR/USD laissant échapper 0,03% pour reprendre pied à 1,3798, s'accrochant à un pic de 23 mois.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,16% pour se hisser à 1,6194.
Une étude de la confédération des entreprises britanniques avait fait savoir que seulement 2% des magasins avaient constaté une augmentations de leurs ventes, au lieu des 34% d'octobre.
Il a d'autre part surmonté la pression du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,14% pour s'élever à 0,8940.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,23% pour monter à 0,9606, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,8317.
Il en allait de même avec la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0443.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,04% pour se situer à 79,30.
En fin de première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,25% pour se retrouver à 97,64, le renforcement des marchés asiatiques constaté à l'aube ayant diminué son attrait traditionnel en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
Les yeux sont d'autre part rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
L'euro a d'autre part bien résisté, l'EUR/USD laissant échapper 0,03% pour reprendre pied à 1,3798, s'accrochant à un pic de 23 mois.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,16% pour se hisser à 1,6194.
Une étude de la confédération des entreprises britanniques avait fait savoir que seulement 2% des magasins avaient constaté une augmentations de leurs ventes, au lieu des 34% d'octobre.
Il a d'autre part surmonté la pression du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,14% pour s'élever à 0,8940.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,23% pour monter à 0,9606, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,8317.
Il en allait de même avec la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,08% pour aller vers 1,0443.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,04% pour se situer à 79,30.