Investing.com - Le dollar U.S. a finalement abdiqué face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, les rumeurs de chute possible du gouvernement grec ayant légèrement apaisé les craintes dûes au referendum sur le sauvetage du pays, encourageant la demande pour les investissements les plus risqués du même coup.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.42% pour grimper à 1.3806.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances de la Grèce, s'est déclaré ce matin opposé au projet de referendum sur le programme de secours.
Les rumeurs d'annulation de celui-ci ont également enflé à l'orée de la motion de confiance du gouvernement du premier ministre George Papandreou, devant avoir lieu demain, et pouvant la provoquer avec un éventuel désavoeu de celui-ci.
Le billet vert a également perdu quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.43% pour se hisser à 1.6018.
Une étude avait auparavant montré que l'activité tertiaire britannique avait connu un coup de barre en octobre, sans toutefois franchir la ligne démarquant un ralentissement, restant ainsi positive pour le dixième mois d'affilée.
Il a d'autre part légèrement subi la pression du yen, et davantage celle du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.06% pour se retrouver à 77.99 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.8803.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.34% pour aller vers 1.0103, l'AUD/USD raflant 0.24% pour monter à 1.0372 et le NZD/USD grignotant 0.08% pour culminer à 0.7921.
Un rapport officiel avait montré ce matin que les venntes au détail australiennes avaient moins progressé en septembre que prévu, encaissant 0.4% contre 0.6% le mois précédent.
Un autre indiquant pour sa part que l'emploi néo-zélandais avait moins progressé qu'espéré au troisième trimestre et que le taux de chômage était passé de 6.5 à 6.6% sur la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 76.99.
Le département d'état au travail américain a pour sa part fait savoir que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage avait moins augmenté la semaine dernière qu'il n'avait été craint, augmentant de 397 000 unités contre 406 000 pour la précédente, et ce alors que les experts tablaient sur 401 000 demandes.
La Banque Centrale Européenne devait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendre son rapport sur l'activité tertiaire.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.42% pour grimper à 1.3806.
Evangelos Venizelos, le ministre des finances de la Grèce, s'est déclaré ce matin opposé au projet de referendum sur le programme de secours.
Les rumeurs d'annulation de celui-ci ont également enflé à l'orée de la motion de confiance du gouvernement du premier ministre George Papandreou, devant avoir lieu demain, et pouvant la provoquer avec un éventuel désavoeu de celui-ci.
Le billet vert a également perdu quelques pouces de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.43% pour se hisser à 1.6018.
Une étude avait auparavant montré que l'activité tertiaire britannique avait connu un coup de barre en octobre, sans toutefois franchir la ligne démarquant un ralentissement, restant ainsi positive pour le dixième mois d'affilée.
Il a d'autre part légèrement subi la pression du yen, et davantage celle du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.06% pour se retrouver à 77.99 et l'USD/CHF glissant de 0.44% pour tomber à 0.8803.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.34% pour aller vers 1.0103, l'AUD/USD raflant 0.24% pour monter à 1.0372 et le NZD/USD grignotant 0.08% pour culminer à 0.7921.
Un rapport officiel avait montré ce matin que les venntes au détail australiennes avaient moins progressé en septembre que prévu, encaissant 0.4% contre 0.6% le mois précédent.
Un autre indiquant pour sa part que l'emploi néo-zélandais avait moins progressé qu'espéré au troisième trimestre et que le taux de chômage était passé de 6.5 à 6.6% sur la période considérée.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.39% pour se situer à 76.99.
Le département d'état au travail américain a pour sa part fait savoir que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage avait moins augmenté la semaine dernière qu'il n'avait été craint, augmentant de 397 000 unités contre 406 000 pour la précédente, et ce alors que les experts tablaient sur 401 000 demandes.
La Banque Centrale Européenne devait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendre son rapport sur l'activité tertiaire.