Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, dans l'expectative d'une baisse des taux de la Banque Centrale Européenne à l'issue de sa réunion dans l'après-midi.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3161.
Les rumeurs de rabotage des taux ont été renforcées par les récentes déconvenues laissant craindre une détérioration de la situation économique de l'Europe.
Il avait été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité des industries du bloc ayant adopté la monnaie unique avait chuté depuis 46,8 jusqu'à 46,7 pour avril, sa valeur la plus faible en quatre mois.
Son équivalent pour l'Allemagne suivait le même chemin, passant de 49,0 à 48,1 dans le même temps.
Le billet vert a par contre cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,12% pour culminer à 1,5573, proche d'un pic de deux mois et demi.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé de couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit ait fait savoir dans la matinée que son indice des directeurs des achats du secteur du bâtiment du Royaume-Uni avait connu un sursaut depuis 47,2 vers 49,4 pour avril, soit nettement mieux que les 48,0 espérés.
Il a aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY se repliant de 0,13% pour reprendre pied à 97,22.
Il demeurait friable dans le sillage de récentes déconvenues du marché du travail et de l'industrie, laissant craindre un essouflement de la relance nationale à la veille de la publication du rapport sur l'emploi non agricole.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était, en fonction des perspectives de chômage et d'inflation.
Il n'en était pas de même avec le franc suisse, l'USD/CHF empochant 0,18% pour culminer à 0,9288.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,39% pour se retrouver à 1,0235, le NZD/USD se laissant arracher 0,27% pour toucher le fond à 0,8475 et l'USD/CAD décant 0,10% pour descendre à 1,0071.
La première a perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient révélé que celles-ci avaient accordé 5,5% de permis de construire de moins en mars, semant le doute sur les effets bénéfiques des faibles coûts des emprunts sur l'immobilier.
Il a d'autre part été signalé à l'aube que la valeur finale du baromètre de l'activité chinoise établi par HSBC avait subi une érosion depuis les 51,6 de mars jusqu'à 50,4 au lieu des 50,5 avancés au préalable, les commandes étrangères ayant diminué.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,12% pour se situer à 81,75.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3161.
Les rumeurs de rabotage des taux ont été renforcées par les récentes déconvenues laissant craindre une détérioration de la situation économique de l'Europe.
Il avait été noté en fin de matinée que le baromètre définitif de l'activité des industries du bloc ayant adopté la monnaie unique avait chuté depuis 46,8 jusqu'à 46,7 pour avril, sa valeur la plus faible en quatre mois.
Son équivalent pour l'Allemagne suivait le même chemin, passant de 49,0 à 48,1 dans le même temps.
Le billet vert a par contre cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0,12% pour culminer à 1,5573, proche d'un pic de deux mois et demi.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé de couleurs après que le groupe de recherches économiques Markit ait fait savoir dans la matinée que son indice des directeurs des achats du secteur du bâtiment du Royaume-Uni avait connu un sursaut depuis 47,2 vers 49,4 pour avril, soit nettement mieux que les 48,0 espérés.
Il a aussi subi la pression du yen, l'USD/JPY se repliant de 0,13% pour reprendre pied à 97,22.
Il demeurait friable dans le sillage de récentes déconvenues du marché du travail et de l'industrie, laissant craindre un essouflement de la relance nationale à la veille de la publication du rapport sur l'emploi non agricole.
La Réserve Fédérale a quand à elle prolongé hier son programme d'achat de 85 milliards d'USD d'actifs par mois, tout en rappelant que ce montant pourrait être augmenté ou diminué si besoin était, en fonction des perspectives de chômage et d'inflation.
Il n'en était pas de même avec le franc suisse, l'USD/CHF empochant 0,18% pour culminer à 0,9288.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'AUD/USD cédant 0,39% pour se retrouver à 1,0235, le NZD/USD se laissant arracher 0,27% pour toucher le fond à 0,8475 et l'USD/CAD décant 0,10% pour descendre à 1,0071.
La première a perdu des plumes après que des informations émanant des autorités aient révélé que celles-ci avaient accordé 5,5% de permis de construire de moins en mars, semant le doute sur les effets bénéfiques des faibles coûts des emprunts sur l'immobilier.
Il a d'autre part été signalé à l'aube que la valeur finale du baromètre de l'activité chinoise établi par HSBC avait subi une érosion depuis les 51,6 de mars jusqu'à 50,4 au lieu des 50,5 avancés au préalable, les commandes étrangères ayant diminué.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,12% pour se situer à 81,75.
Le gouvernement des Etats-Unis conclura de son côté la journée avec son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage et le solde du commerce extérieur.