Investing.com - Le dollar U.S. limitait les dégâts face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, alors que son homologue européen profitait moins des signaux industriels positifs, dans l'expectative de la publication des résultats des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a modérément fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3001, après avoir culminé à 1,3043 après que la bonne surprise des résultats régionaux ayant apaisé les rumeurs de nouvelles injections de capitaux de la part de la Banque Centrale Européenne.
La monnaie unique avait culminé dans la matinée après qu'il ait été avancé que l'indice des directeurs des achats des usines de la région ayant adopté la monnaie unique était remonté depuis 47,8 vers 48,3 pour le mois dernier.
Celui de l'Allemagne suivait un chemin identique, passant des 48,1 d'avril à 49,4 après révision à la hausse des 49,0 évalués au préalable.
Il était aussi souligné que celui de l'Espagne laissait voir la rétraction la plus limitée en deux ans, et que celui de la France reflétait la régression la plus mince depuis un an.
Il en était de même, mais jusqu'à une ornière de trois semaines devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,18% pour se retrouver à 100,22, l'effondrement des actions nippones encourageant la valeur refuge traditionnelle de son adversaire.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,45% pour se hisser à 1,5262.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire en voyant que le baromètre de l'activité du secteur secondaire britannique grimpait pour sa part depuis les 50,2 du quatrième mois de l'année, revus à la hausse à partir d'une estimation préliminaire à 49,8, jusqu'à 51,3, soulignant sa plus forte progression en 14 mois.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF s'emparant de 0,20% pour s'élever à 0,9576.
Il avait aussi été signalé dans la matinée que l'indice des directeurs des achats helvète établi par l'association des logisticiens SVME et le Crédit Suisse avait gonflé de 50,2 à 52,2 en mai, dépassant ainsi les 50,9 envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,88% pour monter à 0,9659, le NZD/USD engrangeant 0,62% pour culminer à 0,7994 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0341.
Les devises dépendantes des matières premières gardaient la forme après qu'une étude officielle ait signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par HSBC subissait dans le même temps une érosion de sa première estimation à 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012, après avoir atteint 50,4 le mois précédent.
Les ventes au détail de l'Australie ont pour leur part augmenté de 0,2% sur une période identique, une légère déception au vu des 0,3% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,15% pour se situer à 83,19.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a modérément fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,05% pour grimper à 1,3001, après avoir culminé à 1,3043 après que la bonne surprise des résultats régionaux ayant apaisé les rumeurs de nouvelles injections de capitaux de la part de la Banque Centrale Européenne.
La monnaie unique avait culminé dans la matinée après qu'il ait été avancé que l'indice des directeurs des achats des usines de la région ayant adopté la monnaie unique était remonté depuis 47,8 vers 48,3 pour le mois dernier.
Celui de l'Allemagne suivait un chemin identique, passant des 48,1 d'avril à 49,4 après révision à la hausse des 49,0 évalués au préalable.
Il était aussi souligné que celui de l'Espagne laissait voir la rétraction la plus limitée en deux ans, et que celui de la France reflétait la régression la plus mince depuis un an.
Il en était de même, mais jusqu'à une ornière de trois semaines devant le yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,18% pour se retrouver à 100,22, l'effondrement des actions nippones encourageant la valeur refuge traditionnelle de son adversaire.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,45% pour se hisser à 1,5262.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire en voyant que le baromètre de l'activité du secteur secondaire britannique grimpait pour sa part depuis les 50,2 du quatrième mois de l'année, revus à la hausse à partir d'une estimation préliminaire à 49,8, jusqu'à 51,3, soulignant sa plus forte progression en 14 mois.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF s'emparant de 0,20% pour s'élever à 0,9576.
Il avait aussi été signalé dans la matinée que l'indice des directeurs des achats helvète établi par l'association des logisticiens SVME et le Crédit Suisse avait gonflé de 50,2 à 52,2 en mai, dépassant ainsi les 50,9 envisagés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été nettement dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,88% pour monter à 0,9659, le NZD/USD engrangeant 0,62% pour culminer à 0,7994 et l'USD/CAD régressant de 0,25% pour aller vers 1,0341.
Les devises dépendantes des matières premières gardaient la forme après qu'une étude officielle ait signalé samedi que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine avait frémi depuis 50,6 vers 50,8 pour mai.
Il était cependant à noter à l'aube que son équivalent établi par HSBC subissait dans le même temps une érosion de sa première estimation à 49,6 vers 49,2, son pire niveau depuis octobre 2012, après avoir atteint 50,4 le mois précédent.
Les ventes au détail de l'Australie ont pour leur part augmenté de 0,2% sur une période identique, une légère déception au vu des 0,3% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,15% pour se situer à 83,19.
L'institut de gestion des approvisionnements conclura de son côté la journée avec son baromètre de l'activité des industries des Etats-Unis.