Investing.com - Le dollar U.S. a fini par prendre l'avantage sur la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, grâce au plus important renforcement des résultats des usines américaines en sept mois.
Il a en effet bénéficié de l'étude révélant que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0,6% après ajustement au cours du mois dernier, dépassant ainsi les 0,4% envisagés.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,35% pour se retrouver à 97,74.
Mais son ascension demeurait limitée, à l'avant-veille de la prise de cap mensuelle de la Réserve Fédérale, alors qu'elle semblait fortement disposée à poursuivre ses rachats d'actifs à leur niveau actuel jusqu'au premier trimestre 2014.
L'euro a d'autre part eu du mal à résister, l'EUR/USD laissant échapper 0,21% pour reprendre pied à 1,3776, s'éloignant d'un pic de 23 mois.
Le billet vert a d'autre part surmonté la pression de la valeur refuge traditionnelle du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,39% pour s'élever à 0,8960.
Il a également repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD perdant 0,15% pour se glisser à 1,6143.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousine australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD se rétractant de 0,19% pour descendre à 0,9565, et le NZD/USD reculant de 0,01% pour toucher le fond à 0,8280, mais pas la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0446.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,42.
Il a en effet bénéficié de l'étude révélant que la production industrielle des Etats-Unis avait augmenté de 0,6% après ajustement au cours du mois dernier, dépassant ainsi les 0,4% envisagés.
En seconde partie de séance européenne, le yen a davantage fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,35% pour se retrouver à 97,74.
Mais son ascension demeurait limitée, à l'avant-veille de la prise de cap mensuelle de la Réserve Fédérale, alors qu'elle semblait fortement disposée à poursuivre ses rachats d'actifs à leur niveau actuel jusqu'au premier trimestre 2014.
L'euro a d'autre part eu du mal à résister, l'EUR/USD laissant échapper 0,21% pour reprendre pied à 1,3776, s'éloignant d'un pic de 23 mois.
Le billet vert a d'autre part surmonté la pression de la valeur refuge traditionnelle du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,39% pour s'élever à 0,8960.
Il a également repris du terrain à la livre sterling, le GBP/USD perdant 0,15% pour se glisser à 1,6143.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousine australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD se rétractant de 0,19% pour descendre à 0,9565, et le NZD/USD reculant de 0,01% pour toucher le fond à 0,8280, mais pas la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0446.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,42.