Investing.com - Le dollar U.S. patinait face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, malgré un sursaut par rapport à son homologue japonais, les transactions demeurant rares dans l'expectative des résultats américains du jour, sur fond de rumeurs de poursuite des rachats d'actifs de son émettrice.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,28% pour se retrouver à 97,67, le renforcement des marchés asiatiques constaté à l'aube ayant diminué son attrait traditionnel en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
Les yeux sont d'autre part rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
L'euro a d'autre part fait mieux que résister, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3808, s'accrochant à un pic de 23 mois.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,21% pour se hisser à 1,6202.
Cette dernière demeurait en forme, après qu'il ait été montré que l'économie britannique avait connu entre début juillet et fin septembre son expansion la plus forte en trois ans.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté vendredi qu'elle avait gonflé de 0,8% au cours du trimestre et de 1,5% d'une année sur l'autre.
Il a d'autre part surmonté la pression du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,18% pour s'élever à 0,8942.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,34% pour monter à 0,9616, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,8317.
Il en allait de même avec la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,10% pour aller vers 1,0439.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,03% pour se situer à 79,24.
En première partie de séance européenne, le yen a fléchi devant lui, l'USD/JPY frémissant de 0,28% pour se retrouver à 97,67, le renforcement des marchés asiatiques constaté à l'aube ayant diminué son attrait traditionnel en tant que valeur refuge.
Les Etats-Unis comptent en effet conclure la journée avec les chiffres de leur production industrielle, tandis que les poids lourds de l'immobilier les imiteront avec des informations sur les ventes de logements en cours.
Les yeux sont d'autre part rivés sur la Réserve Fédérale, à l'avant-veille de sa prise de cap mensuelle, bien que les rumeurs de fermeture de ses robinets avant que l'année prochaine soit bien avancée aient perdu toute crédibilité.
L'euro a d'autre part fait mieux que résister, l'EUR/USD gagnant 0,03% pour grimper à 1,3808, s'accrochant à un pic de 23 mois.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,21% pour se hisser à 1,6202.
Cette dernière demeurait en forme, après qu'il ait été montré que l'économie britannique avait connu entre début juillet et fin septembre son expansion la plus forte en trois ans.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi constaté vendredi qu'elle avait gonflé de 0,8% au cours du trimestre et de 1,5% d'une année sur l'autre.
Il a d'autre part surmonté la pression du franc suisse, l'USD/CHF avançant de 0,18% pour s'élever à 0,8942.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD raflant 0,34% pour monter à 0,9616, le NZD/USD engrangeant 0,47% pour culminer à 0,8317.
Il en allait de même avec la canadienne, l'USD/CAD régressant de 0,10% pour aller vers 1,0439.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,03% pour se situer à 79,24.