Investing.com - Le dollar U.S. faisait bonne figure face à la plupart de ses concurrents ce lundi matin, évitant s'accrochant à ses gains après avoir consolidé vendredi, la bonne surprise causée par le marché du travail américain pour le mois passé ayant ranimé les rumeurs d'un tour de vis de la part de son émettrice.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,10% pour grimper à 1,3376 alors qu'il avait conclu à 1,3364, se maintenant cependant au-dessus de son creux de sept semaines établi jeudi à 1,3294.
Le département d'état au travail américain a en effet compté vendredi 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée.
Cette bonne nouvelle laissait espérer que l'économie nationale n'avait guère été affectée par les récentes mises à pied des fonctionnaires, et que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs avant la fin de l'année.
La monnaie unique se trouvait quand à elle sur la sellette après que la Banque Centrale Européenne ait rabaissé sans crier gare en fin de semaine son taux directeur de 0,5 à 0,25%, et laissé entendre qu'il était encore possible de le voir diminuer.
Le billet vert a également cédé du terrain au yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,03% pour se retrouver à 99,05, accroché à 99,40, son pic de sept semaines datant du 7 novembre.
Il a d'autre part à peine subi la pression de la livre sterling et du franc suisse, le GBP/USD prenant 0,03% pour se hisser à 1,6017 et l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9209.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé sa cousine australienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,06% pour descendre à 0,9375.
Cette dernière avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que les prêts immobiliers avaiet bondi de 4,4% en septembre, au lieu des 4% envisagés.
La néo-zélandaise et la canadienne ont cependant pris l'avantage, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,8257 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0472.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 81,24.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,10% pour grimper à 1,3376 alors qu'il avait conclu à 1,3364, se maintenant cependant au-dessus de son creux de sept semaines établi jeudi à 1,3294.
Le département d'état au travail américain a en effet compté vendredi 204.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de seulement 125.000 était envisagée.
Cette bonne nouvelle laissait espérer que l'économie nationale n'avait guère été affectée par les récentes mises à pied des fonctionnaires, et que la Réserve Fédérale pourrait réduire le volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs avant la fin de l'année.
La monnaie unique se trouvait quand à elle sur la sellette après que la Banque Centrale Européenne ait rabaissé sans crier gare en fin de semaine son taux directeur de 0,5 à 0,25%, et laissé entendre qu'il était encore possible de le voir diminuer.
Le billet vert a également cédé du terrain au yen, l'USD/JPY trébuchant de 0,03% pour se retrouver à 99,05, accroché à 99,40, son pic de sept semaines datant du 7 novembre.
Il a d'autre part à peine subi la pression de la livre sterling et du franc suisse, le GBP/USD prenant 0,03% pour se hisser à 1,6017 et l'USD/CHF glissant de 0,07% pour tomber à 0,9209.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs légèrement dominé sa cousine australienne, l'AUD/USD laissant échapper 0,06% pour descendre à 0,9375.
Cette dernière avait retrouvé des couleurs après qu'il ait été montré à l'aube que les prêts immobiliers avaiet bondi de 4,4% en septembre, au lieu des 4% envisagés.
La néo-zélandaise et la canadienne ont cependant pris l'avantage, le NZD/USD engrangeant 0,18% pour culminer à 0,8257 et l'USD/CAD régressant de 0,05% pour aller vers 1,0472.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,06% pour se situer à 81,24.