Investing.com - Le dollar U.S. demeurait en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, à l'approche d'une téléconférence des ministres des finances européens, après s'est largement renforcé en début de journée suite à l'annonce du décès de Kim Jong Il, qui dirigeait de la Corée du Nord.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.07% pour tomber à 1.3032.
La monnaie unique restait sur la sellette, alors que les représentants des états membres de l'UE se préparaient en effet à débattre du plan consistant à mobiliser jusqu'à 200 milliards d'euros de prêts au FMI, ainsi que des amendements aux traités fondateurs permettant d'établir un fonds de secours permanent de 500 milliards d'euros d'être mis en place.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro s'est trouvée renforcée après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement.
Le billet vert avait profité à l'ouverture de la crainte d'une destabilisation géopolitique du nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction de la Corée du Nord, soutenant du même coup la demande pour les valeurs refuge.
Le billet vert gagnait toutefois un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5514.
Au Royaume-Uni, le site internet immobilier britannique Rightmove avait pour sa part révélé en début de matinée que les prix des logements du pays avaient plongé de 2.7% pour décembre, après avoir déjà laissé échapper 3.1% le mois précédent.
Le yen a aussi subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.12% pour se hisser à 77.86 et l'USD/CHF trébuchant de 0.06% pour toucher le fond à 0.9354.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a déclaré qu'il surveillerait les évolutions des marchés financiers suite au décès de Kim Jong Il.
Le gouvernement nippon a quand à lui annoncé avoir restreint son budget initial pour la prochaine année fiscale des 92 billions de JPY son record de 2011, vers 90.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.24% pour descendre à 1.0356, l'AUD/USD cédant 0.18% pour se retrouver à 0.9963 et le NZD/USD se laissant arracher 0.01% pour toucher le fond à 0.7615.
Une étude avait montré en déut de matinée que le baromètre Westpac banking Corporation du moral des consommateurs de Nouvelle-Zélande avait reculé sur le quatrième trimestre, avec la crainte que la crise de la dette en zone euro n'entraîne un ralentissement économique mondial.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 80.71.
La Banque Centrale Européenne avait pour sa part signalé en début de journée que le compte courant de la zone euro avait enregistré un déficit de 7.5 milliards d'euros en octobre, alors que son solde présentait un excédent de 2.2 milliards d'euros le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir présenter un trou supérieur à 1.9 milliards pour la période considérée.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.07% pour tomber à 1.3032.
La monnaie unique restait sur la sellette, alors que les représentants des états membres de l'UE se préparaient en effet à débattre du plan consistant à mobiliser jusqu'à 200 milliards d'euros de prêts au FMI, ainsi que des amendements aux traités fondateurs permettant d'établir un fonds de secours permanent de 500 milliards d'euros d'être mis en place.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro s'est trouvée renforcée après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement.
Le billet vert avait profité à l'ouverture de la crainte d'une destabilisation géopolitique du nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction de la Corée du Nord, soutenant du même coup la demande pour les valeurs refuge.
Le billet vert gagnait toutefois un peu moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.19% pour chuter à 1.5514.
Au Royaume-Uni, le site internet immobilier britannique Rightmove avait pour sa part révélé en début de matinée que les prix des logements du pays avaient plongé de 2.7% pour décembre, après avoir déjà laissé échapper 3.1% le mois précédent.
Le yen a aussi subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.12% pour se hisser à 77.86 et l'USD/CHF trébuchant de 0.06% pour toucher le fond à 0.9354.
Jun Azumi, le ministre des finances japonais, a déclaré qu'il surveillerait les évolutions des marchés financiers suite au décès de Kim Jong Il.
Le gouvernement nippon a quand à lui annoncé avoir restreint son budget initial pour la prochaine année fiscale des 92 billions de JPY son record de 2011, vers 90.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par sa cousine canadienne, mais pas par l'australienne ni la néo-zélandaise, l'USD/CAD trébuchant de 0.24% pour descendre à 1.0356, l'AUD/USD cédant 0.18% pour se retrouver à 0.9963 et le NZD/USD se laissant arracher 0.01% pour toucher le fond à 0.7615.
Une étude avait montré en déut de matinée que le baromètre Westpac banking Corporation du moral des consommateurs de Nouvelle-Zélande avait reculé sur le quatrième trimestre, avec la crainte que la crise de la dette en zone euro n'entraîne un ralentissement économique mondial.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.04% pour se situer à 80.71.
La Banque Centrale Européenne avait pour sa part signalé en début de journée que le compte courant de la zone euro avait enregistré un déficit de 7.5 milliards d'euros en octobre, alors que son solde présentait un excédent de 2.2 milliards d'euros le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir présenter un trou supérieur à 1.9 milliards pour la période considérée.