Investing.com - Le dollar U.S. gardait la forme face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, le faux pas inattendu des commerces là où il a cours ayant consolidé l'hypothèse de la poursuite des aides de son émettrice.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait toujours devant lui, pour s'éloigner de son pic de 23 mois, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3769.
Il a en effet été indiqué aujourd'hui que les ventes au détail américaines avaient subi une déconvenue de 0,1% en septembre, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait probable, celles des produits de base, excluant les moyens de transport, grignotant cependant 0,4% comme prévu.
Il était aussi à noter que les coûts de production des Etats-Unis avaient été rabotés de 0,1% dans le même temps, au lieu d'augmenter de 0,2% comme prévu, leur inflation de base se situant sans surprise à 0,1%.
Ces résultats peu glorieux ont confortée l'idée selon laquelle leur banque centrale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger l'économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Le baromètre de la confiance des consommateurs sera aussi au centre des débats en fin de journée.
Le billet vert profitait de l'hypothèse selon laquelle les opérateurs auraient déjà tenu compte du fait que la Réserve Fédérale maintiendra certainement le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,27% pour prendre pied à 97,94, aux alentours d'un pic journalier.
Il a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,38% pour chuter à 1,6080.
Il avait auparavant été noté que les prêts immobiliers accordés là où celle-ci a cours avaient atteint le mois passé leur plus haut niveau depuis février 2008, confortant l'hypothèse de la relance du marché du logement.
Le franc suisse a aussi vu ternir son blason de valeur sûre, l'USD/CHF grignotant 0,16% pour culminer à 0,8971 et s'éloigner du gouffre de 20 mois établi la semaine passée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,84% pour se retrouver à 0,9492 et le NZD/USD se faisant arracher 0,47% pour toucher le fond à 0,8262.
La première avait perdu pied à l'aube, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait affirmé qu'elle avait de fortes chances de chuter au cas où les taux de change ne seraient pas soutenus par les coûts de production relatifs et la productivité.
Leur homologue canadienne a cependant gardé un avantage modeste, l'USD/CAD se rétractant de 0,02% pour descendre à 1,0442.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,56.
En seconde partie de séance européenne, l'euro fléchissait toujours devant lui, pour s'éloigner de son pic de 23 mois, l'EUR/USD perdant 0,13% pour tomber à 1,3769.
Il a en effet été indiqué aujourd'hui que les ventes au détail américaines avaient subi une déconvenue de 0,1% en septembre, alors qu'un sursaut de 0,1% semblait probable, celles des produits de base, excluant les moyens de transport, grignotant cependant 0,4% comme prévu.
Il était aussi à noter que les coûts de production des Etats-Unis avaient été rabotés de 0,1% dans le même temps, au lieu d'augmenter de 0,2% comme prévu, leur inflation de base se situant sans surprise à 0,1%.
Ces résultats peu glorieux ont confortée l'idée selon laquelle leur banque centrale n'annoncera probablement pas de modification dans le volume de ses aides jusqu'à ce que le premier trimestre 2014 soit bien entamé, afin de protéger l'économie des conséquences des 16 jours de paralysie ayant récemment frappé leurs administrations américaines.
Le baromètre de la confiance des consommateurs sera aussi au centre des débats en fin de journée.
Le billet vert profitait de l'hypothèse selon laquelle les opérateurs auraient déjà tenu compte du fait que la Réserve Fédérale maintiendra certainement le volume de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Il en allait de même avec le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,27% pour prendre pied à 97,94, aux alentours d'un pic journalier.
Il a aussi gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0,38% pour chuter à 1,6080.
Il avait auparavant été noté que les prêts immobiliers accordés là où celle-ci a cours avaient atteint le mois passé leur plus haut niveau depuis février 2008, confortant l'hypothèse de la relance du marché du logement.
Le franc suisse a aussi vu ternir son blason de valeur sûre, l'USD/CHF grignotant 0,16% pour culminer à 0,8971 et s'éloigner du gouffre de 20 mois établi la semaine passée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne et néo-zélandaise, l'AUD/USD cédant 0,84% pour se retrouver à 0,9492 et le NZD/USD se faisant arracher 0,47% pour toucher le fond à 0,8262.
La première avait perdu pied à l'aube, après que Glenn Stevens, gouverneur de la Réserve Bancaire d'Australie, ait affirmé qu'elle avait de fortes chances de chuter au cas où les taux de change ne seraient pas soutenus par les coûts de production relatifs et la productivité.
Leur homologue canadienne a cependant gardé un avantage modeste, l'USD/CAD se rétractant de 0,02% pour descendre à 1,0442.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,20% pour se situer à 79,56.