Investing.com - Le dollar U.S. restait en difficulté face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, en raison du flou persistant sur les orientations futures de son émettrice, alors que le moral profitait des belles performances chinoises.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à un creux de sept semaines, l'USD/JPY trébuchant de 0,05% pour se retrouver à 96,30.
Le billet vert demeurait en effet en difficulté après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La devise nippone n'a guère varié, après que la Banque du Japon n'ait apporté à l'aube aucune évolution à sa politique monétaire.
Il en allait de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5511, approchant un sommet de près de deux mois.
Celle-ci gardait la forme après que la Banque d'Angleterre se soit engagée hier à maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Le billet vert a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3358, frôlant sa valeur la plus élevée depuis la mi-juin.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais 0,8% d'importations en moins.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,11% pour tomber à 0,9207.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,81% pour monter à 0,9072, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,7977 et l'USD/CAD régressant de 0,10% pour aller vers 1,0413.
La première, fortement liée à la croissance, avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
La nouvelle a du coup éclipsé le fait que l'économie du pays avait subi 10.200 destructions de postes le mois passé, au lieu des 5.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 5,7%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,11% pour se situer à 81,20.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En fin de première partie de séance européenne, il a fléchi devant le yen jusqu'à un creux de sept semaines, l'USD/JPY trébuchant de 0,05% pour se retrouver à 96,30.
Le billet vert demeurait en effet en difficulté après que deux hauts responsables de la Réserve Fédérale aient rappelé mardi qu'ils ne pouvaient pas exclure une diminution de ses coups de pouce dès sa réunion de septembre.
La devise nippone n'a guère varié, après que la Banque du Japon n'ait apporté à l'aube aucune évolution à sa politique monétaire.
Il en allait de même avec la livre sterling, le GBP/USD prenant 0,14% pour se hisser à 1,5511, approchant un sommet de près de deux mois.
Celle-ci gardait la forme après que la Banque d'Angleterre se soit engagée hier à maintenir les coûts des emprunts consentis aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps jusqu'à ce que le chômage britannique repasse sous la barre des 7%.
Le billet vert a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/USD gagnant 0,17% pour grimper à 1,3358, frôlant sa valeur la plus élevée depuis la mi-juin.
L'Allemagne avait auparavant signalé 0,6% d'exportations mensuelles supplémentaires pour juin, mais 0,8% d'importations en moins.
Il a d'autre part subi la pression du franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0,11% pour tomber à 0,9207.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD raflant 0,81% pour monter à 0,9072, le NZD/USD engrangeant 0,10% pour culminer à 0,7977 et l'USD/CAD régressant de 0,10% pour aller vers 1,0413.
La première, fortement liée à la croissance, avait repris des couleurs après que la Chine ait fait savoir à l'aube que ses exportations avaient grimpé de 5,1% d'une année sur l'autre en juin, dissipant le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
Elle a aussi souligné que les importations bondissaient de 10,9% dans le même temps, laissant espérer un renforcement de la consommation nationale.
La nouvelle a du coup éclipsé le fait que l'économie du pays avait subi 10.200 destructions de postes le mois passé, au lieu des 5.000 déjà redoutés, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 5,7%.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, dévissait quand à lui de 0,11% pour se situer à 81,20.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.